« Quand je vais avec un client, c’est comme si j’allais à l’abattoir. Entre ses mains, je me sens comme un vulgaire bout de steak. » Depuis quelques mois seulement, cette Berruyère qui a souhaité conserver l'anonymat vend son corps via Internet. Question de « survie » pour cette femme d’une trentaine d’années.
Une séparation, un enfant à charge, le souci de rester discrète dans une petite ville de province, le besoin d'argent rapide l’ont poussée à se tourner vers la cyberprostitution.
Elle et une autre Berruyère reviennent, dans le Fait du jour du mardi 19 novembre du Berry Républicain, sur ce choix fait de vendre leur corps.