Il sortait du bâtiment réacteur de l’unité de production n° 1, actuellement en arrêt programmé, où il intervenait sur le démontage de matériels utilisés lors des opérations de rechargement.
L’intervenant a été immédiatement pris en charge par le service médical. Les contrôles médicaux et radiologiques n’ont révélé aucune trace de contamination résiduelle. Le salarié a donc pu regagner son domicile. L’exposition à laquelle le salarié a été soumis est inférieure au niveau de la limite réglementaire (500 millisievert sur douze mois consécutifs pour la peau).
Cet événement a été déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) hier, comme un événement significatif radioprotection de niveau 1, en raison d’une dose estimée supérieure au quart de la limite réglementaire annuelle sur la peau.
Chloé Ghérardi