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Les Chaumes du Patouillet, un site en pleine mutation

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Le site naturel est agrandi

Un public privilégié (*) a assisté, mercredi, à l'inauguration de l'extension des Chaumes du Patouillet, site naturel protégé, à Chanteloup, commune de Lunery.

Le Conservatoire est positionné sur le site des Chaumes du Patouillet depuis l'an 2000, date à laquelle il a acquis 19 premiers hectares dans l'attente d'étendre un jour son emprise foncière, avec en 2002, plus de 20 hectares.

Envisager la mise en pâturage

Enfin, l'opportunité d'acquérir près de 120 hectares supplémentaires s'est présentée en 2016 et s'est concrétisée il y a quelques semaines. Un investissement (**) de 335.000 euros qui inclut les premiers travaux de restauration du terrain (les pelouses).

Cette extension va permettre de préserver une surface plus conséquente et d'y envisager la mise en place d'un pâturage.

Les Chaumes du Patouillet, avec ses milieux humides, ses cavités naturelles, ses sites d'hivernage et ses pelouses sèches, constitue le troisième causse du Cher en bon état de conservation.

De nombreuses espèces intéressantes et protégées ont été recensées. Il a été labellisé espace naturel sensible du Cher.

(*) Cette inauguration s'est tenue en présence de Michel Prévost, président du Conservatoire d'espaces naturels Centre-Val de Loire ; Jean-Claude Monin, vice-président du conseil départemental en charge de l'environnement ; Agnès Sinsoulier-Bigot, vice-présidente de la Région Centre-Val de Loire, Catherine Gibaud représentante de la Dréal et Philippe Portier, directeur général de la Safer du centre.

(**) Achat réalisé grâce aux fonds européens Feader, à la région (Pays de Bourges désormais Pôle d'équilibre territorial et rural), au conseil départemental, à la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement et à la Société d'aménagement foncier et d'établissement rural.


La Sologne vue par les peintres

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Aujourd'hui et demain, dans le cadre des Journées du patrimoine, qui ont lieu officiellement la semaine prochaine, l'association de Sauvegarde du patrimoine de Clémont invite les visiteurs à un week-end riche de découvertes.

Deux jours durant, de 10 heures à 17 heures, la maison de la Pêche accueillera une exposition-vente de tableaux ayant pour thème Clémont et la Sologne.

Deux peintres de renommée internationale sont présents

En plus des artistes locaux (Marc Bertrand, Philippe Devaux, Catherine Duprillot, Christine Koepp, André Brassamin, Hélène M, Marie-Claire Fricheteau et Sylvie Lecourtier), deux peintres de renommée internationale seront présents.

La Varsovienne Ewa Mazur Devaux, qui présentera ses œuvres colorées et lumineuses inspirées des sous-bois solognots, mais surtout le Néerlandais Bert Hermans, peintre contemporain majeur, primé à l'international et spécialisé dans le patrimoine industriel et culturel.

Visite guidée du moulin de l'Abas

Ami d'enfance de la présidente de l'association, Willie Baudelot, l'artiste a, également, réalisé une série de tableaux consacrée à Clémont et à la Sologne, dont certains seront, d'ailleurs, présentés lors de l'exposition. La manifestation comprend, aussi, aujourd'hui, la visite guidée annuelle du moulin d'Abas, par groupes de neuf, avec découverte de la machinerie, intacte, et des derniers travaux de restauration effectués (inscription sur place).

Demain, une promenade découverte dans le village, avec un concours-questionnaire, sera organisée de 10 à 13 heures au départ de la maison de la Pêche. Deux circuits, de 3 à 4 km dans le bourg ou de 8 km jusqu'au canal, seront accessibles.

Avec ces animations multiples, l'association a décidé, cette année, de voir les choses en grand. « C'est la première fois que nous adoptons ce format sur deux jours et ce sera un événement, assure la présidente. Nous avons, de plus, la chance d'accueillir deux artistes reconnus, dont un grand du métier, c'est vraiment exceptionnel. »

Pratique. Aujourd'hui et demain, de 10 à 17 heures sans interruption. Rafraîchissements et restauration prévus à la Maison de la Pêche. Parking et entrée gratuits.

Subvention pour le développement de l’agriculture biologique

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Une aide pour la maraîchère bio

Serge Mechin, conseiller régional, vient de signer une nouvelle convention d'attribution de subvention à Candice Petrucci, maraîchère bio installée sur la commune de Cuffy (Jardins des Linans).

Cette signature met en évidence l'engagement du Pays Loire Val d'Aubois, via son contrat régional de solidarité territoriale, pour le développement de l'agriculture biologique sur le territoire.

Installée depuis 2015

Candice Petrucci va mettre à profit cette aide de 2.700 euros pour construire un abri servant à la vente des fruits et légumes, installer un frigo pour la conservation des produits après récolte et s'équiper de matériels de production.

Cette jeune agricultrice, installée depuis 2015, cultive divers légumes et petits fruits de saison qu'elle commercialise directement sur l'exploitation tous les vendredis ainsi qu'au marché estival installé à la halte nautique du Guétin.

Le projet j’ai ouï lire présenté aux habitants du territoire

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Aider les seniors à la lecture

Une douzaine de personnes était présente mardi, à la Maison des jeunes, pour écouter la responsable du Pôle d'animation seniors de La Septaine, Sylvie Sasseignes, qui a présenté le projet J'ai ouï lire. Sa mise en place tend à aider certains seniors qui ont des difficultés pour lire.

C'est dans le cadre de ce projet qu'il leur est proposé de participer à l'attribution du prix Chronos en 2020.

Thème intergénérationnel

Une sélection de quatre livres par tranche d'âge leur a, ainsi, été présentée. Chaque ouvrage traitant d'un thème intergénérationnel.

Un appareil d'audio lecture sera prêté à ceux qui le souhaitent. Les participants s'engageront à lire quatre livres de leur choix. Une intervention de Corinne Duchêne, conteuse et auteure de Contes et Légendes du Berry, permettra de perfectionner la lecture à haute voix et de trouver la bonne intonation.

Les lecteurs pourront participer à un vote à l'échelon national qui permettra de déterminer les ouvrages préférés du lectorat et d'attribuer le prix Chronos.

En fin d'après-midi, dix-neuf élèves de CM2 de l'école élémentaire sont venus avec leur enseignante, Isabelle Desiaume, pour échanger sur le thème de la lecture avec les aînés. Rencontre touchante et révélatrice de l'évolution des préférences selon les générations.

Pratique. Renseignements, au 06.45.10.52.52.

Classement des buteurs de National 2 : Daouda Gueye accroît son avance même dans la défaite

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National 2 (groupe C)Après la 6e journée

6 buts Gueye (Bourges, +1)

4 buts Ndilu (Nantes) ; Payet (Romorantin) ; Popineau ( Blois)

3 buts Mmadi, Djabour (Andrézieux)  ; Caddy (Sète) ; Cardinali (Colomiers) ; Seidou (Saint-Pryvé/Saint-Hilaire)

2 buts Dabo (Nantes) ; Moke Ndedi, Franco (Angoulême) ; Vercruysse, Adouyev, Wahi (Montpellier) ; Pouye, Traoré, (+1, Les Herbiers) ; Gérard (Saint-Pryvé) ; Zabou (Bourges) ; Benariès (Romorantin).

1 but

Pereira, Tsagué, Luvambo (+1, Nantes) ; Vacheron, Pereira Lage (Andrézieux) ; Farssane (Romorantin) ; Lobo, Moges, Goncalves (Angoulême) ; Kasongo, Benchama (+1, Montpellier) ; Milla, Mayela, Amofa, Kimmakon (Les Herbiers) ; Duvoux, Dafniet, Samb (+1), Badia Mounaga (+1, Blois) ; Bentayeb, Gomez, Baana Jaba (+1, Sète) ; Bisson, Diaby, Baala (Trélissac) ; Lemaitre, Charpentier (+1, Saint-Pryvé) ; Metayer (Colomiers) ; Rasamoel (Bourges) ; Tressens, Koutar, Fichten, Sene, Aabiza, Bakir (+1, Bergerac) ; Lahaye, Rance, Colo, Tressy, Boche (+1, Chamalières) ; Nordin (Saint-Etienne).

 

Salaires des profs : on démêle le vrai du faux

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Comment s'articule ce rapport ?

Chaque année, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) communique une étude comparative des salaires des enseignants dans l'ensemble des pays membres. Le rapport s'intéresse aux revenus des instituteurs (débutants et avec 15 ans d'ancienneté) ainsi qu'aux enseignants exerçant dans le second degré.

Pourquoi les interprétations divergent ?

Ces derniers jours, le rapport de l'OCDE a donné lieu à une petite bataille des chiffres et des commentaires. Selon les uns, les profs français toucheraient moins que la moyenne de l'OCDE. Pour d'autres,  ils seraient en réalité mieux rétribués et il faudrait y voir un pavé dans la mare de leurs revendications salariales. Pourquoi un tel grand écart ?

L'étude distingue en fait « salaire statutaire » (hors primes et heures supplémentaires) et « salaire effectif ». Or, les chiffres peuvent différer sensiblement selon la grille de lecture choisie.

Le salaire statutaire des enseignants français se situe bien sous la moyenne des pays de l’OCDE en 2018, même si un rattrapage s’observe en fin de carrière.

En revanche, si l’on tient compte des primes et du paiement des heures supplémentaires, le salaire effectif des enseignants entre 25 et 64 ans est légèrement supérieur à la moyenne de l’OCDE, sauf pour les profs de l’élémentaire, qui ne perçoivent que peu de primes.

En début de carrière, la rémunération des professeurs est de 7 % inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE en début de carrière. Les enseignants français gagnent près de 28.000 euros (bruts) par an dans le primaire, contre 29.900 pour la moyenne des pays de l’OCDE.

Les profs de lycée français en début de carrière gagnent, eux, 29.400 euros, contre 32.423 euros pour la moyenne des pays de l’OCDE.

L’écart se creuse ensuite, en milieu de carrière : par exemple, après 15 ans d’ancienneté, un prof de collège gagne en France 35.550 euros, contre 43.107 euros pour la moyenne de l’OCDE.

L'appel à la prudence de l'OCDE

Pour Eric Charbonnier, expert éducation de l’OCDE, ces chiffres doivent être maniés avec prudence : "On parle souvent des salaires enseignants dans leur globalité, alors qu’il y a de grosses différences". Les profs du secondaire sont mieux payés que dans le primaire car "ils sont en moyenne plus âgés, plus souvent agrégés, ont davantage l’opportunité de faire des heures supplémentaires ou d’avoir accès à des primes", explique-t-il.

Les agents des Finances publiques en grève ce lundi matin

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Ils étaient près de 80 agents des Finances publiques à se mobiliser à l'appel d'une intersyndicale (CFDT, CFTC, CGT, FO, Solidaires) ce lundi matin, devant le siège berruyer pour dénoncer la modification annoncée des implantations et du fonctionnement des finances publiques dans le département du Cher et sur l'ensemble du territoire national. Une journée de grève par ailleurs nationale puisque l'ensemble des trésoreries étaient appelées à faire grève en cette journée du 16 septembre.

« Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a annoncé la fermeture de toutes les trésoreries d'ici à 2022 avec seulement trois services des finances publiques, accessibles au public seulement sur rendez-vous à Bourges, Vierzon et Saint-Amand-Montrond, dénonce Gillette Tessier (CGT) devant le centre administratif Condé devant les agents regroupés. La seule réponse de nos responsables est de mettre en avant la création des Maisons France service (qui doivent remplacer les Maisons de services au public) qui devraient répondre aux attentes du grand public. Ce ne sont que des rustines ! »

La politique du tout-numérique et l'éloignement des services de proximité pour l'usager est aussi dans l'esprit des manifestants et notamment la disparition annoncée du Service impôt entreprises (SIE) d'ici à l'année prochaine, qui devrait être remplacé par une présence à Bourges, Vierzon et Saint-Amand-Montrond. « On nous demande tout simplement d'abandonner le recouvrement des créances avec des présences qui ne seront plus un gage de proximité, bien au contraire ! »

Les syndicats des Finances publiques ont alerté les maires sur les « dangers de la disparition des trésoreries », tout comme les « difficultés prévisibles d'une gestion des finances par les maires ». Ils disent avoir reçu le soutien d'une vingtaine de maires dans leur contestation. Dans le Cher, ils sont 380 agents à travailler dans les Finances publiques.

« Pas de fermeture de trésorerie en 2020 »

L'intersyndcale a rencontré en fin de matinée le directeur départemental des Finances publiques du Cher, Xavier Menette, afin de lui soumettre ses inquiétudes sur l'avenir des agents et des trésoreries du département. « Nous sommes toujours dans une phase de concertation avec les agents pour afiner les derniers contours de la réforme annoncée par le Gouvernement. J'ai par ailleurs proposé la tenue d'un comité technique local avec les syndicats dans les semaines à venir. Dans le même temps, je suis dans une discussion avec les élus pour connaître leur point de vue sur le devenir des finances publics dans leur commune. Quoi qu'il en soit, il faut prendre le temps pour cette réforme et il n'est pas exclu qu'elle soit reportée d'un an ou deux, à l'horizon 2023, plutôt qu'en 2021. Mais je le redis, il n'y aura aucune fermeture de trésorerie l'année prochaine comme je m'y suis engagé. »

Concernant plus spécifiquement la question des SIE, le directeur confirme qu'il y aura un regroupement des quatre actuelles SIE (Bourges, Saint-Amand, Vierzon, Sancerre) sur Bourges en début d'année prochaine. « J'ai redis aux syndicats que je ne mettais aucune obligation pour les agents qui travaillent dans ces centres, de déménager sur Bourges. De plus, c'est un regroupement qui prendra plusieurs années... » 

Frank Simon

Les Finances publiques en grève, Snowden demande l'asile à la France... Les cinq infos du Midi pile

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Les agents des Finances publiques en grève ce lundi matin

Ils étaient près de 80 agents des Finances publiques à manifester ce lundi matin devant le centre administratif Condé de Bourges. Des agents en grève à l'appel d'une intersyndicale (CFDT, CFTC, CGT, FO, Solidaires) pour dénoncer le plan de restructuration du gouvernement.

Avocats, médecins et paramédicaux, pilotes, hôtesses et stewards… Mobilisés contre la réforme des retraites

Avocats, médecins et paramédicaux, pilotes, hôtesses et stewards... Après la RATP vendredi, des professions "qui n'ont pas l'habitude de manifester" descendent dans la rue lundi pour défendre leurs "régimes autonomes" de retraite contre le "système universel" voulu par l'exécutif. "Pour la première fois dans l'histoire sociale de ce pays, des avocats, des professionnels du soin et des salariés du transport aérien réunis en collectif défileront ensemble pour dénoncer le projet de captation sans sommation de leurs régimes autonomes de retraite", a souligné dans le Journal du dimanche le collectif "SOS Retraites", créé par ces professions pour défendre la spécificité de leurs régimes.

Brexit : Boris Johnson rencontre le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker

Il y a un mois, Boris Johnson jurait qu’il n’était pas question de discuter avec les Européens tant que ces derniers n’auraient pas accepté de renoncer à ce fameux « backstop », cette assurance contre le retour d’une frontière en Irlande, jugée « antidémocratique » par le premier ministre britannique. Ce lundi 16 septembre, M. Johnson a finalement accepté de rencontrer Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, lors d’un déjeuner de travail à Luxembourg.

Les attaques en Arabie saoudite font s’envoler les cours du pétrole

Les Etats-Unis se sont déclarés dimanche "prêts à riposter" aux attaques de drones la veille contre des installations pétrolières en Arabie saoudite, qui ont entraîné une réduction de moitié de sa production et provoqué une forte hausse des cours de l'or noir.

Edward Snowden souhaite qu’Emmanuel Macron lui accorde l’asile

Le lanceur d’alerte Edward Snowden, réfugié en Russie après avoir dénoncé le système de surveillance massive des services secrets américains en 2013, « aimerait beaucoup » que le président français, Emmanuel Macron, lui accorde le droit d’asile, a-t-il déclaré dans une interview à France Inter enregistrée vendredi 13 septembre et diffusée lundi matin.


Le moniteur d'équitation accusé de viols sur de jeunes cavalières sera jugé par la cour d'assises de la Nièvre à huis clos

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Un regard jeté aux jeunes femmes depuis le box où l'ancien moniteur d'équitation, "cavalier" comme il se présente devant la cour, est apparu, lundi 16 septembre, en chemise blanche. Parmi les sept anciennes cavalières de centres équestres qu'il a fréquentées partout en France et qui ont confié avoir été victimes de ses agissements, toutes ne sont pas présentes, à l'audience, devant la cour d'assises de la Nièvre. Parfois épaulées par de la famille, voir des représentants de l'Association nivernaise d'aide aux victimes d'Infractions (Andavi) et assises derrière leurs avocates, elles évitent tout contact visuel.

Un moniteur d'équitation accusé d'agressions sexuelles et de viols sur des cavalières mineures jugé cette semaine

À la demande de trois d'entre elles, par la voix de leurs avocates, Me Bérengère Michaux et Me Nathalie Bouvier-Longeville, le président Luc Sarrazin a ordonné que les débats programmés sur cinq jours se déroulent à huis clos. Sur ce point, l'avocat général, Paul-Édouard Lallois, a réagi. "Lorsqu'il est demandé par une victime, il est de droit. Ma conviction aurait été que le huis clos soit partiel selon les demandes de chacune. Car ce genre de procès doit être public et se jouer sous le regard du peuple."

Dans cette affaire d'agressions sexuelles et de viols prétendument perpétrés dans la Nièvre et ailleurs, le verdict est attendu vendredi 20 septembre.

Juré absent. Fait inhabituel au moment de tirer au sort les jurés du procès d'assises, lundi 16 septembre. Sur les vingt de la liste, l'un manque à l'appel. L'avocat général requiert une amende de 300 € à son encontre. "Régulièrement cité et n'ayant pas donné de motif d'absence, le juré manquant à l'appel est condamné à payer une amende de 200 €", motive le président. Le juré suppléant n°1 a alors été convoqué pour que la liste des jurés, avant tirage au sort, comporte bien vingt noms.

Fanny Delaire

Tentative de cambriolage à La Poste de Vouzeron, vol dans les locaux techniques de Baugy... Les faits divers en bref

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Tentative de cambriolage à La Poste de Vouzeron

Une tentative de cambriolage à l'agence postale communale de Vouzeron a été découverte ce lundi matin, peu après 7 h 30. Les voleurs ont fracturé la porte d'entrée. Rien n'a été dérobé ni même déplacé. La gendarmerie était sur place ce matin.

Vol dans les locaux techniques communaux de Baugy

Une tronçonneuse et 80 litres d'essence ont été dérobés, dans la nuit de dimanche à ce lundi, dans les locaux techniques de la commune de Baugy. La communauté de brigades de Baugy a ouvert une enquête.

Grand excès de vitesse, à Uzay-le-Venon

Un jeune homme de 22 ans s'est vu retirer son permis par le peloton motorisé de Saint-Amand, ce dimanche 15 septembre, vers 11 heures, alors qu'il circulait à 197 km/h contre les 80 km/h autorisés sur la RD 2144, à Uzay-le-Venon. Le conducteur sera convoqué au tribunal correctionnel. Sa Mercedes-Benz Classe A a été placée en fourrière.

216 grammes de cannabis découverts à Bourges

Lors d'une patrouille pédestres de sécurisation, les policiers de Bourges ont découvert, le samedi 14 septembre, vers 11 h 30, 216 grammes de cannabis dissimulés derrière un rideau métallique du centre commercial Cap Nord. Le cannabis était conditionnés en petites tablettes. Une balance a également été retrouvée.

Opération 5 Chefs au piano : un menu Renaissance à Tivoli Initiatives cette semaine

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Pour la troisième année, le jeudi 19 septembre, le restaurant de Tivoli Initiatives vivra au rythme de l’opération 5 Chefs au piano.

L’initiative est devenue label et permet désormais de décliner ce rendez-vous sous différentes formules, mais l’esprit reste le même : celui de faire travailler plusieurs chefs de cuisine collective ensemble autour d’un menu à thème. Et de proposer un repas, ouvert à tous, au tarif unique de 10 euros.

Trois chefs réunis

Cette année, le thème de la Renaissance a été retenu et, autour de Julien Legros, chef de Tivoli, se retrouveront Manon Carré et Wilfrid Arnoult, chefs des foyers de jeunes travailleurs (FJT) de Saint-Amand et de Romorantin.

Le menu, déjà établi par Julien Legros, proposera : en entrée, un crumble de poule au pot ou une tourte de canard et son jus de betterave ; en plat, trois viandes – agneau, jambon de cochon et volaille – cuites en rôtisserie ou steak de thon mi-cuit à la catalane ; en dessert, bouchée à la Reine sucrée ou risotto sucré.

200 à 250 convives

« C’est un moment d’échanges, de partage, qui change de notre quotidien, souligne Julien Legros. On fait connaissance de chacun, on réalise un truc sympa en échangeant. »

Cette initiative a connu un gros succès lors de ses deux premières éditions, avec 200 à 250 déjeuners servis. Ce qui répond à la philosophie de départ de valoriser la restauration collective.

Elle s’ajoute aux repas à thème que Julien Legros propose chaque troisième jeudi du mois.

Bertrand Philippe

Pratique. Déjeune 5 Chefs au piano sur le thème de la Renaissance, de 11 h 45 à 13 h 30 à Tivoli Initiatives, 3 rue de Moulon, à Bourges.

 

Le classement des buteurs du Cher dans les championnats régionaux au 16 septembre

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Régional 1 Après la 2e journée 

1 but. Cafaro  (Portugais de Bourges) ; Lhéritier, Chollier, Mendonca  (AS Saint-Amand).

Régional 2 Après la 2e journée 

3 buts. S. Chafi (+2) (Bourges 18 B).

1 but. B. Rocher, Adelin, Viot (Massay) ;  Guenette, Cherrioux, Sanglier  (Saint-Doulchard) ; Sidibé, Codan  (ES Bourges Moulon) ; Labdi ; Tichicht (+1) (Bourges 18 B).

Régional 3Après la 2e journée 

2 buts. M. Villemont (+1) (Fussy/Saint-Martin/Vignoux).

1 but. Dos Reis (+1), Bezard (+1) (Fussy/Saint-Martin/Vignoux) ;  Moulin (Saint-Germain-du-Puy) ; Roca, pandorre (+1) (Bourges Gazélec) ; Lemarchand (+1) (CS Vignoux).

La loi bioéthique en question ce lundi soir à Vierzon

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L’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) à toutes les femmes, la conservation des gamètes, l’accès aux origines… Le projet de loi bioéthique, qui doit être examiné par l’Assemblée nationale à partir du 24 septembre. sera au cœur des échanges ce soir, salle du Beffroi, à Vierzon.

Une loi qui interroge

La députée du Cher, Nadia Essayan (Modem), a convié le Dr Jean-Claude Fondras, membre du Laboratoire d’éthique médicale rattaché à l’UFR de médecine de l’université François-Rabelais de Tours (Indre-et-Loire), pour apporter un éclairage sur ces différentes questions.

Cette réunion publique « trouve sa source dans la suite du « grand débat ». Je crois qu’il est important que nous, députés, offrions aussi des lieux de présentation des textes qui sont en discussion, et des temps de dialogue sur ces textes-là. » Cette loi, « c’est l’occasion de discerner ce qui est techniquement possible et ce qui est éthiquement souhaitable. C’est une loi assez particulière, qui pose beaucoup de questions. »

Elle avoue elle-même « se poser encore beaucoup de questions », alors que le vote approche. La loi bioéthique est révisée tous les cinq ans, mais « on arrive là, dans ce texte, à une véritable rupture anthropologique. On peut complètement remplacer le lien biologique par le projet parental. »

Elle n’a pas encore décidé de son vote, « parce que je veux voir comment va évoluer la discussion sur la nécessité de donner aux enfants l’accès à leurs origines. Est-ce que ça va être des données identifiantes ou véritablement un accès aux origines, à la personne qui a fait le don ? Ce qui, pour moi, est indispensable. »

Elle s’interroge aussi sur « la manière dont on va réussir à bloquer le risque d’un marché de la procréation », sur l’ouverture à la GPA, sur la conservation des ovocytes, la destruction des embryons… « C’est difficile pour moi de considérer les embryons comme de simples cellules », conclut-elle. 

Sabrina Vernadesabrina.vernade@centrefrance.com

Pratique. Réunion publique ce soir, à partir de 18 heures, salle du Beffroi, à Vierzon.

Le Berruyer Julien Saleur valide sa place aux championnats du monde devant 15.000 spectateurs à Bercy

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« C’était ouf, complètement dingue, incroyable. » Dimanche soir, Julien Saleur enchaînait les superlatifs pour tenter de mettre des mots sur ce qu’il avait vécu la veille. « Je sentais tout le public tourné vers moi, je n’avais jamais connu ça », avoue le licencié de la Société municipale de Bourges.

Il ira aux Mondiaux

Tout au long de la semaine, il appréhendait la manière dont il allait réagir face à cette situation qu’il découvrait. « Je commençais par les arçons, qui est notre agrès le plus instable, raconte-t-il. Il fallait absolument que j’oublie le contexte et que je me mette dans ma bulle. » Le contexte?? Les 15.000 regards des spectateurs de Paris/Bercy braqués sur lui.

« Je m’en suis très bien sorti, se réjouit le Berruyer. Après les arçons, j’étais plus libéré. » Il avait déjà réussi à accrocher une belle douzième place, alors que pratiquement tous les meilleurs mondiaux étaient là. Ont suivi une neuvième place aux barres parallèles et une belle quinzième place à la barre fixe.

« Sur les barres parallèles, c’est légèrement frustrant parce que je ne rentre pas en finale pour 0,1 point. J’ai fait quelques petites erreurs. » Mais le Français était ravi, le staff aussi. Sa place pour les championnats du monde de Stuttgart (4-13 octobre) a été confirmée hier soir.

Son expérience à Bercy sera très importante en vue de l’échéance mondiale, où se jouera la qualification aux Jeux olympiques. Il a démontré qu’il est capable de résister à la pression. « Et puis pour un gymnaste français, cette compétition à Bercy, c’est vraiment la consécration, dit Julien Saleur. On est  sur le toit de la gymnastique française, c’est incroyable. » Surtout quand on a passé quinze ans à tourner autour des équipes de France. 

Ludovic Aurégan ludovic.auregan@centrefrance.com

Des travaux d'étanchéité acrobatiques sur la pyramide saint-amandoise

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Les cordistes de GTAB ne passent pas inaperçus à Saint-Amand. Ces dernières semaines, on les voit régulièrement partir à l’assaut de la pyramide de la Cité de l’or, où l’entreprise berruyère – la seule du Cher spécialisée dans les travaux sur cordes –, est chargée de refaire l’étanchéité.

« En juillet et août, nous avons repris les joints défectueux autour des vitrages, sur 1.500 mètres en tout, indique Stéphane Guillaume, à l’œuvre avec un salarié et un intérimaire. Là, durant environ trois semaines, nous allons reprendre les points d’étanchéité sur les croix moulées, qui font la jonction entre les triangles. »

Jusqu’à mi-octobre ou fin novembre

Ces alpinistes en bâtiment remplaceront, ensuite, les éléments métalliques des arrêtes, avant de faire des essais d’arrosage et tout nettoyer.

Ce chantier devrait durer jusqu’à fin-octobre ou mi-novembre, estime Stéphane Guillaume, habitué du site : « J’étais déjà intervenu à la construction de la pyramide, en 2000. Depuis, je reviens régulièrement pour de l’entretien ou du nettoyage. Contrairement à ce que les gens imaginent, ces interventions ne répondent pas à un problème de hauteur, mais d’accès difficile. Ce n’est pas de la montagne. À la base, il faut vraiment être du bâtiment, savoir changer des vitrages, faire des joints, de la taille de pierre, etc. »

« Ce n’est pas de la montagne. À la base, il faut vraiment être du bâtiment »

Sur la pyramide, la principale difficulté pour l’équipe est de gérer la température. « Pendant la canicule, on a enregistré jusqu’à près de 70 degrés. Nous avons alors adapté nos horaires pour que ce soit travaillable, pour nous et pour les produits qu’on utilise », précise Stéphane Guillaume, qui assure des travaux sur cordes pour le bâtiment, mais aussi l’électricité, la publicité, le génie civil et le nettoyage.

GTAB intervient dans le cadre des travaux destinés à réduire les coûts de fonctionnement de la Cité de l’or, où la municipalité prévoit d’installer les écoles municipales d’art et de musique.

Marlène Lestang


Michel Autissier : « On veut tuer le 90 km/h ! »

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Michel Autissier, président du conseil départemental du Cher, ne décolère pas. La question concernant la vitesse de circulation sur les routes a donné lieu à un rapport d’experts qui fait, souligne-t-il, que « tout retour à 90 km/h est désormais impossible, infaisable. On nous prend pour des imbéciles ».

Le décret attendu en octobre

Rappelons que, par décision du Premier ministre, Édouard Philippe, puis par décret, la vitesse est désormais fixée à 80 km/h maximum sur les routes dont les voies ne sont pas séparées.

Le 16 mai dernier, Édouard Philippe assouplissait cette mesure en soulignant que la vitesse pourrait être relevée à 90 km/h, et que cette responsabilité revenait aux présidents des conseils départementaux (lire le BR du 18 mai). Le décret d’application devait paraître en juillet… Il est repoussé à octobre.

Dès le mois de juin, Miche Autissier s’était montré favorable à cette nouvelle disposition. Il avait mis ses équipes au travail, en avait parlé avec les autres présidents des départements de la Région, et avait annoncé des décisions « si possible avant les grandes vacances ».

Las, le décret a donc été repoussé, et, le 9 juillet, un rapport d’experts de la sécurité routière est venu doucher les bonnes dispositions des élus locaux. « Ce rapport, poursuit Michel Autissier, cite les prérogatives à mettre en place… C’est un tissu d’imbécillités ! C’est énorme en coût de revient, ça complique tout, c’est aberrant. »

Et le président du conseil départemental de citer « davantage de bandes blanches, pas le droit de tourner à gauche, des accotements de 1,20 mètre, pas de véhicules agricoles, pas de piétons, pas de cyclistes, pas de traversée par un chemin de randonnée, et l’augmentation du nombre des radars… Il y en a deux pages comme ça. C’est scandaleux ! Quel respect du monde agricole ! »

« Il n’y a pas un président qui se lancera »

Michel Autissier ajoute « attendre le décret du mois d’octobre. Mais si ces préconisations sont reprises, pas un président de département ne se lancera. Parce que notre responsabilité serait alors engagée et que je ne tiens pas à me retrouver au Bordiot parce qu’une association m’estime responsable. On sait pourtant que la vitesse n’entre en ligne de compte que dans 4 à 6 % des accidents en paramètre isolé dans le Cher. Le danger, sur nos grandes lignes droites, ce sont les camions : soit on les a derrière, qui poussent à la faute, soit on les a devant, et on prend les gravillons sans pouvoir les doubler… En fait, on veut tuer le retour en arrière ». 

Bertrand Philippe bertrand.philippe@centrefrance.com

Réforme des retraites, près de 40 avocats du barreau de Bourges défilent ce lundi à Paris

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« Nous voulions être en nombre pour montrer que les indépendants et les libéraux font tout le nécessaire pour que la réforme des retraites ne passe pas.  » Au coeur du cortège qui s'est réuni, ce lundi 16 septembre, à 13 heures, place de l'Opéra, à Paris, pour rejoindre la place de la Nation, Stéphanie Jamet, bâtonnière du barreau de Bourges, évoque la mobilisation des avocats du Cher aux côtés des infirmières, médecins, kinésithérapeutes ou encore pilotes de ligne.

« Une quarantaine » d'avocats, sur les 87 que compte le barreau de Bourges, sont ainsi montés à la capitale pour défendre leur caisse de retraite autonome. « Nous ne voulons pas qu'elle soit absorbée par un régime commun unique » voulu par l'exécutif, poursuit la bâtonnière. 

 La seule solution, c'est le maintien de notre caisse

Le projet de loi impliquerait notamment le passage du taux de cotisations sur leurs revenus de 14% à 28%,  « avec, en corollaire, une pension moindre pour les petits cabinets », explique Stéphanie Jamet. « La seule solution, c'est le maintien de notre caisse. D'autant qu'elle participe au régime commun, à hauteur de 98 millions d'euros pour l'année 2018. Malgré cela, notre caisse reste bénéficiaire. C'est un régime qui fonctionne parfaitement et qui ne doit pas se raccrocher à un régime général. »

Les avocats du barreau de Bourges assurent, ce lundi, être « prêts à redescendre dans la rue » si les discussions prévues ce mardi 17 septembre entre Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire aux retraites délégué auprès d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé et Nicole Belloubet, garde des Sceaux et les responsables du conseil national des barreaux, de la caisse nationale des barreaux français et de la conférence des bâtonniers ne leur donnent pas satisfaction.

Les actions judiciaires suspendues ce lundi 16 septembre

En parallèle de cette mobilisation, « l'ensemble des actions judiciaires » liées à un avocat, à l'exception « du contentieux de la liberté », ont été suspendues à Bourges, comme le confirme Stéphanie Jamet. Pour exemple, le renvoi de comparution immédiate prévu ce lundi 16 septembre au tribunal correctionnel de Bourges autour d'une affaire de trafic de stupéfiants présumé a été reporté au 28 octobre.

« Nous avons cependant gardé la session d'assises dans la Nièvre car les conséquences pour les parties civiles auraient été trop importantes. » Pour rappel, un quadragénaire, toujours présumé innocent, comparaît ce lundi 16 septembre devant la cour d’assises de la Nièvre pour répondre d’agressions sexuelles et de viols sur huit mineures, dont une vivant dans le Cher, de 2003 à 2017 dans le cadre de ses activités professionnelles, moniteur d’équitation ou palefrenier.

Marion Lapeyre

Une partie d’Aubigny-sur-Nère peut à présent être raccordée au réseau de fibre optique

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Internet en très haut débit, c’est maintenant une réalité en Sauldre et Sologne. Le réseau de fibre optique est en cours de déploiement par Berry numérique. Et une partie est déjà opérationnelle. Une série de trois réunions publiques a été lancée pour informer les habitants des communes déjà concernées.

Au nord-ouest d’Aubigny, des raccordements sont déjà possibles

Quand le réseau sera-t-il en fonction ? La ville d’Aubigny-sur-Nère est la première où des raccordements sont d’ores et déjà possible. L’installation du réseau se fait progressivement et la totalité n’est pas livrée en même temps. « Au nord-ouest, c’est raccordable tout de suite, soulignait Pascal Bourdillon, directeur de Berry numérique, la structure qui construit le réseau public de fibre optique du Cher, lors d’une première réunion qui vient d’être organisée dans la commune. L’ouest le sera cette semaine, le sud et l’est fin octobre. Le taux de couverture avoisinera les 99 %. »

Argent-sur-Sauldre et La Chapelle-d’Angillon suivront bientôt, en octobre également. Pour les autres communes de Sauldre et Sologne, il faudra patienter encore un peu. « Une deuxième tranche est prévue d’ici à 2021 ou 2022, a précisé le directeur de Berry numérique. Elle concernera Clémont, Brinon-sur-Sauldre, Blancafort et Oizon. »

Le reste du territoire sera concerné par le déploiement dans les années à venir.Quel sera le débit ? « Il y aura une différence avec le réseau cuivre, bien évidemment, a affirmé Laurent Roussat, directeur de Berry fibre optique, société qui exploite et assure la maintenance du réseau, lors de la réunion. Le débit atteindra jusqu’à 1 giga, ce qui est très supérieur à l’ADSL, qui oscille entre 2 et 20 mégas. »

Qui peut déjà être raccordé ? Il faut d’abord savoir si l’on est « éligible » ou non, selon le terme consacré. Pour ce faire, il faut se connecter au site de Berry fibre optique (www.berryfibreoptique.fr). Selon son directeur, « un plan de la commune permet de savoir quelle adresse est raccordable au très haut débit ». Un code couleurs indique si les travaux sont encore en cours, s’ils sont terminés ou encore à venir.

Quels opérateurs solliciter ? Les fournisseurs d’accès à internet (FAI) sont listés sur le site de l’exploitant. « Le réseau est commercialisé de manière non discriminatoire à tous », assure Berry fibre optique. En tout, ils sont neuf : Orange, Bouygues, SFR, Free, K-Net, Nordnet, Ozone, Vidéofutur et Coriolis.

Attention cependant, pour des raisons techniques, tous ne sont pas encore en mesure de proposer une offre pour la fibre, même à une adresse déjà « éligible ». Seuls les cinq derniers sont en mesure de le faire dès maintenant. « Ils commercialisent car ils s’appuient sur nos installations », a précisé le directeur de Berry fibre optique. Avec les quatre premiers, il faut encore attendre. « Ils doivent installer leurs équipements dans nos installations, ce qui demande du temps. »Comment se raccorder ? La démarche doit se faire auprès de l’un des FAI. En contactant l’un d’entre eux pour souscrire un abonnement, un rendez-vous sera proposé avec un technicien. « Il effectuera le raccordement en fibre optique entre la voie publique et l’intérieur du domicile, qui va suivre le même chemin que la ligne cuivre, en utilisant les poteaux ou les gaines enterrées. » 

Vincent Michelvincent.michel@centrefrance.com

Réunions publiques.? Après une première réunion publique d’information à Aubigny, la semaine dernière, deux autres rendez-vous sont fixés mercredi 25 septembre, à 18 h 30, à la salle des fêtes de La Chapelle-d’Angillon, et jeudi 26 septembre, à 18 h 30, à Argent-sur-Sauldre, salle Jacques-Prévert.

Sébastien Fournet Fayard remporte à Culan la deuxième manche du Challenge du Boischaut-Marche

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Avec dix sociétaires (sur trente-sept concurrents), au départ du Circuit des 2 ponts à Culan, le Team Pro Immo Nicolas Roux a trusté les six premières places de la deuxième manche du Challenge du Boischaut-Marche.

Trois Auvergnats se sont présentés pour la gagne, laquelle est revenue à l’ancien professionnel Sébastien Fournet-Fayard, lauréat sur ce même circuit en 2011, devant Pierre Almeida et Maxime Roger.

Les Cournonnais ont cependant dû jouer des coudes pour se faire une place au soleil, car malgré leur supériorité numérique, ils ont été contraints de riposter aux attaques incessantes de Thomas Acosta (Bourg-en-Bresse cyclisme) et de Yannick Martinez (Guidon chalettois). Mickaël Guichard, quatrième de ce Circuit des 2 ponts, reste leader du Challenge du Boischaut-Marche.Le Team Pro Immo Nicolas Roux a trusté les six premières places et remporté le prix du meilleur collectif du jour.

Tous les leaders au côté de Mickaël Guichard (TPI Nicolas Roux) qui conserve sa tunique blanche.

Six hectares de jachères ravagés par un incendie à La Guerche-sur-l'Aubois

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Un incendie est survenu ce lundi après-midi, vers 14 h 50, dans un champ en jachère situé au lieu-dit La Taille, dans la commune de La Guerche-sur- l’Aubois. Six hectares et demi de broussailles et d’herbes sèches ont été entièrement calcinés par les flammes.

Dix-sept sapeurs pompiers et quatre camions-citernes ont été déployés, en provenance des casernes de La Guerche-sur-l’Aubois, Jouet-sur-l’Aubois, Sancoins, Blet, Avord et Bourges, sans oublier Nevers (Nièvre). Ils sont parvenus à circonscrire l’incendie et à empêcher qu’il ne se propage à des zones boisées bordant les quatre côtés du champ.

Le site a ensuite été placé sous surveillance, afin de prévenir d’éventuelles reprises de feu. Les pompiers devaient aussi, par précaution, abattre certains arbres en lisière immédiate du champ incendié.

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