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Ils ont découvert la ville à travers un jeu de piste

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Fête des plus beaux détours . L'office de tourisme de Mehun-sur-Yèvre proposait vendredi après-midi, une animation gratuite pour la fête nationale des plus beaux Détours.

Trente-quatre participants, livret jeu en mains, ont découvert un parcours et ont visité la commune en recherchant des éléments cachés. Un jeu de piste très palpitant… Chaque personne a reçu un lot à son retour, des crayons de couleur pour les enfants et des soupières à tête de lion offertes par l'entreprise Pillivuyt.

C'est dans la bonne humeur que les derniers arrivants ont partagé le verre de l'amitié, avec le personnel de l'office de tourisme.


Reprise des mangements d'été à Mornay-Berry

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mangements d'été. La commission marché de la commune a décidé de renouveler les mangements d'été en fin de marché, à partir de 19 heures, les premiers vendredis du mois, dès le 2 juin. La dizaine de commerçants habituels proposera des portions de leurs produits au tarif de 2 euros. L'an dernier, les mangements d'été avaient été un succès.

SPECTACLE PYROTECHNIQUE.

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SPECTACLE PYROTECHNIQUE. Le comité des fêtes convie à une très belle soirée au bord du plan d'eau communal, vendredi à partir de 19 h 30. Avant le spectacle pyrotechnique offert par une société événementielle à la commune qui sera tiré à la nuit tombée, le comité des fêtes proposera un barbecue géantæ

Fermeture Mairie

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Fermeture de la Mairie. La mairie sera fermée exceptionnellement le samedi 3 juin.

Fermeture de la bibliothèque

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Fermeture de la bibliothèque. La bibliothèque sera fermée le samedi 3 juin.

« Marie-Francine », ou la famille bourgeoise par Valérie Lemercier

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Marie-Francine (Valérie Lemercier), chercheuse quinquagénaire à la vie rangée, se fait quitter par son mari (Denis Podalydès) pour une femme plus jeune, et perd son boulot.

À la rue, elle se voit contrainte de retourner vivre chez ses parents, un couple de bourgeois de l'ouest parisien (les excellents Hélène Vincent et Philippe Laudenbach), qui l'infantilisent, lui organisent des dîners pour la caser et lui ouvrent une boutique de cigarettes électroniques. Elle va alors rencontrer Miguel (Patrick Timsit), un cuisinier qui n'ose pas lui avouer qu'il est dans la même situation qu'elle, mais sans avoir de lieu pour abriter leur liaison.

L'idée du film, qu'elle a écrit avec la comédienne Sabine Haudepin, est venue à Valérie Lemercier quand un ami lui a raconté que, quand il avait 16 ou 17 ans, il avait une éventuelle petite copine, mais qu'il ne s'était jamais rien passé entre eux parce qu'ils ne savaient pas où abriter leur amour.

« Je me suis dit que ce serait drôle que ça arrive à des gens plus vieux », confie la réalisatrice, humoriste et comédienne de 53 ans. Assurant cependant ne pas avoir voulu faire un film sur les gens qui retournent vivre chez leurs parents, sujet traité récemment dans Retour chez ma mère d'Eric Lavaine, ni « sur la femme de cinquante ans », thème également dans l'air du temps, abordé dans Aurore de Blandine Lenoir avec Agnès Jaoui.

« Ca m'amusait comme âge, un peu charnière. Mais ce n'est pas un film sur les bouffées de chaleur et tout ça. C'est une histoire d'amour de gens pas jeunes », souligne la comédienne, révélée à la fin des années 80 avec la série « Palace » de Jean-Michel Ribes.

Terreau merveilleux

À partir de ce point de départ de comédie romantique, Valérie Lemercier décortique avec un sens aigu du détail dans ce nouveau long métrage la famille bourgeoise, un sujet qui lui tient à cœur.

« Je trouve que la famille, c'est un terreau merveilleux. La bourgeoisie aussi. Alors la famille bourgeoise, ça cumule ! », souligne l'actrice césarisée en 1994 pour son second rôle mémorable de Béatrice Goulard de Montmirail dans Les Visiteurs.

Avec des situations et dialogues cocasses, Marie-Francine lorgne par moment du côté des comédies d'Etienne Chatiliez – de Tanguy, histoire d'un presque trentenaire vivant chez ses parents, à La Vie est un long fleuve tranquille. Et fait mouche dans une série de scènes qui abordent les humiliations successives vécues par cette quinquagénaire maladroite et déprimée.

Marie-Francine. Comédie de Valérie Lemercier. France (1h30).

Sarah Michel, future joueuse des Tango : "L’objectif actuel, c’est l’équipe de France"

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Vous sortez d’un stage d’une dizaine de jours à Anglet. Comment s’est-il passé ?

Il s’est très bien passé, avec un groupe rajeuni en âge et en expérience. L’ambiance et le travail ont été bons.

Qu’est-ce que vous attendez de ce premier tournoi de préparation ?

On espère mettre en place nos systèmes de jeu et notre défense. L’essentiel sera plus la façon dont on fera les choses ensemble que les résultats de ces trois matchs. Il va falloir retrouver nos automatismes et réussir à rejouer toutes ensemble.

Lundi, Badiane et Berkani ont quitté le groupe. C’est un moment toujours difficile…

Oui, c’est toujours un moment particulier pour celles qui s’en vont et celles qui restent. On sait que ça fait partie du jeu. Ce sont des choix de construction d’équipe et de complémentarité qui ne remettent pas en cause le niveau des joueuses qui ne sont pas sélectionnées.

Les Tango dévoilent officiellement leur effectif 2017-2018

Et le groupe va encore perdre deux éléments…

Oui, on ne partira à l’Euro qu’à douze. On ne sait pas encore comment l’équipe va être construite. Le tournoi de Bordeaux (à Villenave-d’Ornon, NDLR) va permettre de trouver la meilleure combinaison possible de douze joueuses.

Chez les Bleues, il y a Olivier Lafargue dans le staff, votre futur coach, et plusieurs Berruyères (*). Vous parlez déjà du Bourges Basket ?

C’est vrai qu’on a fait une photo toutes les cinq à Anglet mais non, pour le moment, on n’est pas trop focalisé sur Bourges, on ne parle pas trop du club. On sait que l’objectif actuel, c’est l’équipe de France.

« Je suis curieuse de découvrir le club »

Vous vous connaissez ?

Je connais Valou [Ayayi] parce que j’ai joué avec elle à Montpellier, Marine [Johannes], parce qu’on a passé les Jeux de Rio ensemble l’an dernier, et Diandra [Tchatchouang], parce que j’ai fait le pôle espoirs avec elle donc ça remonte. Il n’y a qu’Alexia [Chartereau] que j’apprends à découvrir.

Qu’est-ce qui vous a décidé à signer à Bourges ?

Très vite, Oliv [Lafargue] et le Bourges Basket m’ont contactée. Le projet sportif est intéressant, c’est l’un des clubs les plus professionnels et les plus sérieux. Pouvoir disputer l’Euroligue et remporter des titres nationaux, c’est quelque chose qui me tient à cœur. Je suis contente d’arriver dans ce nouveau challenge.

À Bourges, les choses vont être différentes par rapport à Monptellier : la salle, l’engouement du public, les partenaires privés. Je suis curieuse de découvrir un club où les attentes sont toujours fortes et où il faut gagner.

Pour vous, c’est une progression ?

Je ne sais pas si c’est une progression mais c’est dans la continuité de ce que j’ai fait avant, à Nantes puis à Montpellier. 

InterviewGuillaume Blanc 

(*) Alexia Chartereau, Marine Johannes et Diandra Tchatchouang ainsi que les recrues Valériane Ayayi et Sarah Michel.

L’Enjoy Bowling en redressement judiciaire

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L’Envol Bowling, à Vierzon, a notamment été placé en redressement judiciaire. Il s’agit de la société qui gère l’Enjoy Bowling, à Vierzon. Ce bar, boîte de nuit et bowling a ouvert en septembre 2015, rue de la Société-Française. Il emploie sept salariés.

Même si un redressement, contrairement à une liquidation, ne signifie pas une fermeture, c’est une mauvaise nouvelle pour les jeunes vierzonnais puisqu’il s’agit de la seule boîte de nuit de la sous-préfecture du Cher.

« Ce redressement judiciaire nous permet de nous mettre sous la protection du tribunal de commerce et d’étaler nos créances, confie Nicolas Forestier, cogérant de la société l’Envol Bowling. Cela ne veut pas dire qu’on va fermer. Nous allons voir si les 12 à 18 mois qui viennent nous permettront de joindre les deux bouts. »

L’Enjoy Bowling, entre accalmie de saison et événements à succès

Selon Nicolas Forestier, ce redressement judiciaire est dû à « la partie bowling » du complexe de loisirs. « On a du monde, les gens nous disent que c’est un bel endroit, mais nous n’avons pas un chiffre d’affaires suffisant sur la partie bowling. Nous allons nous atteler à la développer dans les mois qui viennent. »

Le tribunal devrait faire un nouveau point sur la situation de l’entreprise le mois prochain.

G. J.


Les marchés du Cher font de la résistance

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« Les marchés seront toujours là. » Cette phrase optimiste vient d’Ollivier Ferraud, désormais ex-président du Syndicat des commerçants des marchés Cher et Indre en Berry. Car malgré une situation pas forcément évidente, il y a toujours des commerçants et des clients sur les dizaines de marchés du Cher.

Celui qui présidait sa dernière assemblée générale, la semaine dernière, a débuté en listant les difficultés auxquelles les commerçants non sédentaires doivent faire face : « La multiplication des mètres carrés de surfaces commerciales, le nombre croissant des marchés à thème, ça n’arrange pas nos affaires. »

« On va être obligés d’aller sur Internet pour se faire connaître »

Quand on lui demande comment se portent les marchés, Ollivier Ferraud est partagé. « Comme tout le monde, on traverse une période un peu difficile. Mais on n’est pas au fond du trou. » D’ailleurs l’optimisme reprend le dessus, grâce à deux atouts : « proximité et qualité ».

« Les gens cherchent cette qualité », estime le commerçant. Les émissions culinaires sont notamment passées par là. « On a un public jeune qui vient le week-end. Ils font attention à ce qu’ils mangent, ils aiment les bonnes choses. Et on s’est modernisés. Ça peut faire revenir les gens. Une belle remorque, ça attire du monde. » Sans compter que, « dès qu’il y a un scandale alimentaire, on voit les gens revenir ».

Pour ce qui est de la proximité, le commerçant du marché « apporte notamment un conseil, une recette ».

Sans oublier que le marché est un lieu agréable, défend Patrick Audoucet, le nouveau président du syndicat. « C’est un espace de liberté. Les gens sont plutôt bienveillants. Un marché, ça vit. »

Grâce à ces atouts, les marchés résistent dans le Cher. Mais ils doivent quand même s’adapter. Et aller plus loin que les lieux traditionnels. « On va être obligés d’aller sur Internet, est convaincu Ollivier Ferraud, qui a une page Facebook. Pas pour faire de la vente, mais pour se faire connaître. »

La communication est un axe important pour le syndicat, vers les potentiels clients, mais aussi avec les mairies, qui sont tout aussi intéressées par le fait de dynamiser les marchés. « Globalement, il y a beaucoup de dialogue avec les mairies, dit Patrick Audoucet. Elles savent qu’on a l’expérience de la vie des marchés. »

Les quelques élus présents à l’assemblée générale ont vanté les mérites des opérations menées, et n’ont pas hésité à demander des conseils. Que ce soit pour lancer un marché, comme cela devrait bientôt être le cas à Cours-les-Barres, ou encore pour réaménager l’existant. « On est un partenaire indispensable à une commune pour développer l’activité commerciale. » Et développer les marchés, c’est un des objectifs du nouveau président. Pour les commerçants, mais aussi parce que « le marché, au-delà du commerce, c’est du lien social ». 

Rémi Cazamea remi.cazamea@centrefrance.com

Le Berruyer Jean-Christophe Rufin fait son entrée dans le Petit Larousse

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Le Petit Larousse annonce 150 nouveaux mots, sens, locutions et expressions - dont la québécoise "douillette" (duvet) – et une cinquantaine de nouvelles personnalités, dont le président Emmanuel Macron, dans sa nouvelle édition. Le Robert illustré intègre au total quelque 200 nouveautés (dont également Emmanuel Macron) dans son dictionnaire, telle cette "cramine" (froid intense) venue de Suisse.  Si le nom du président élu le 7 mai figure dans les deux dictionnaires, le nom du Premier ministre, Edouard Philippe brille par son absence. En revanche, Bernard Cazeneuve, est bien présent dans les deux ouvrages. Il "est" Premier ministre, dit le Larousse, tandis que le Robert a réussi à noter qu'il a été Premier ministre "de décembre 2016 à mai 2017". "Nous avons bloqué l'impression du dictionnaire jusqu'au 8 mai pour pouvoir y mettre le nom du nouveau président", raconte Carine Girac-Marinier, directrice du département dictionnaires des éditions Larousse. Une notice, avec photo, est consacrée au président (entre l'écrivain latin Macrobe et la notice sur Madagascar) mais Larousse a aussi réussi l'exploit technique de placer Emmanuel Macron sur l'une de ses 160 planches (celle consacrée aux présidents de la Ve République) et dans deux tableaux chronologiques accompagnant le long article sur la France. Davantage que la politique, la gastronomie demeure une grande pourvoyeuse de mots nouveaux. La "focaccia" (spécialité italienne) fait son entrée dans le Larousse tout comme le "tangelo" (un agrume) ou la "mique" (plat d'Aquitaine), tandis que le Robert en croque pour la "ciabatta" (autre spécialité italienne), le "combava" (autre agrume) et le "cromesquis" (boulettes au fromage) qui peuvent évidemment convenir à un "flexitarien" (qui limite sa consommation de viande).  Du côté des personnalités, on note l'arrivée dans le Petit Larousse de l'Académicien Jean-Christophe Rufin (par ailleurs "parrain" de l'édition 2018) et de la danseuse étoile Aurélie Dupont. "C'est un honneur, bien entendu, a-t-il réagi au micro de France Info. Au début, j'ai pensé que c'était peut-être un signe d'âge, parce que quand j'étais enfant, seuls les morts entraient dans les dictionnaires. Aujourd'hui, ce n'est plus du tout le cas. [...] Ça n'a rien à voir avec un prix littéraire. Il y a un côté très touchant, dans les dictionnaires, parce que, surtout le Larrousse, ce sont des institutions. Très peu en sortent. Une fois qu'on y est, on y reste. Il y a un côté, je ne dirais pas éternel, mais durable. Alors qu'un prix littéraire, ça passe." 

— franceinfo (@franceinfo) 30 mai 2017 Le handballeur Nikola Karabatic, le cuisinier Bernard Pacaud, l'écrivain algérien Boualem Sansal, le dessinateur suisse Cosey ou encore le biathlète Martin Fourcade se retrouvent dans Le Petit Larousse aux côtés de la soprano Patricia Petibon, l'historien Michel Winock ou encore l'actrice Catherine Frot. Dans Le Robert illustré, on trouve notamment la mystérieuse romancière italienne Elena Ferrante, son collègue Erri De Luca, le comédien Omar Sy, la photographe américaine Annie Leibovitz ou l'économiste Jean Tirole. On remarque aussi d'étranges absences comme celle du footballeur chouchou des Français, Antoine Griezmann.  AFP

La nouvelle ministre des Sports Laura Flessel en terrain conquis, ce mardi au Creps

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Laura Flessel sur son terrain de Jeux

Si la nouvelle ministre n'est pas encore très à l'aise pour lire les discours, l'ancienne championne d'escrime est comme un poisson dans l'eau lorsqu'elle doit aller à la rencontre de sportifs comme c'était le cas sur les 23 hectares du site du Creps de la région Centre-Val de Loire.

Hier, Laura Flessel était en terrain connu et même en terrain conquis à Bourges, au milieu des jeunes cyclistes, badistes, escrimeurs, handballeurs, basketteuses et autres pistards qu'elle a croisés au fil de sa visite des installations berrichonnes.

 

— Michaël Nicolas (@Mnicolas19) 30 mai 2017

 

« Le sport n'exclut pas,il apprend le vivre ensemble »

La ministre s'est même prêtée avec le sourire au jeu des photos, notamment avec les sélections de handball des Antilles qui participent cette semaine aux intercomités organisés au Creps. La force de l'habitude, même s'il y avait, contrairement à ses années de haut niveau, nombre d'élus locaux en arrière-plan.

 

Laura Flessel au Creps de Bourges. 

Nature, décontractée, mais aussi déterminée : Laura Flessel n'oublie pas qu'elle est en marche. Et qu'à ce titre, elle doit profiter de toutes les premières occasions qui lui sont données de faire passer des messages. Son statut de gloire du sport français lui offre un très fort capital sympathie. La ministre n'en abuse pas, mais utilise son vécu quand elle expose ses convictions sur le « sport pour tous » et comme moyen « de lutter contre toutes les discriminations ».

« Quand je vois des structures comme celles-là, en tant que ministre, je ne peux qu'être ravie »

« Le sport n'exclut pas, il apprend à vivre ensemble. Quand je vois des structures comme celles-là, en tant que ministre, je ne peux qu'être ravie », a expliqué la « guêpe », qui en a profité pour rappeler les quatre « P » qui définissent sa vision du sport : « plaisir, performance, pression, partage ».

Et de poursuivre, un peu plus tard : « On voit aussi, ici, qu'on a besoin de formation pour développer la pratique du sport. C'est important parce qu'on ne fait pas que des champions, on aide des humains à grandir. »

Bien sûr, elle a milité pour les JO 2024 et martelé que si Paris les obtient « tout le pays en sortira grandi ». « Les infrastructures que je vois ici montrent qu'on n'a pas à rougir. Elles répondent au cahier des charges pour les jeux Olympiques et Paralympiques. »

Au Creps et à Bourges, Laura Flessel prêchait des convaincus. Nul doute qu'elle aura, à l'avenir, des visites et des dossiers plus épineux à gérer.

Le groupe Minot reprend l'entreprise Charpentes du Centre à Foëcy

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Le groupe Minot, spécialiste de la charpente et structure bois depuis 1914, annonce, dans un communiqué, la reprise de l'entreprise Charpentes du Centre, à Foëcy. Cette société est, selon son repreneur, "reconnue pour son savoir-faire en charpente bois. La compétence de ses équipes et son outil de production moderne sont des atouts majeurs."

Cette reprise permet au groupe Minot, entreprise familiale créée à Villefranche-sur-Saône (Rhône), qui couvrait principalement la façade Est et le littoral atlantique de part l'implantation de ses sept sites de production, d'étendre sa présence dans le Centre de la France.

"L'historique régional de Charpentes du Centre, associé aux compétences du groupe Minot, permettra de poursuivre le déploiement national de notre stratégie industrielle, en conservant une proximité géographique avec nos client", précise Bertrand Minot, président du groupe Minot.

Assurer la pérennité de l'entreprise de Foëcy

Charpentes du Centre, désormais filiale à 100% du groupe Minot, poursuivra son activité sur son propre site de Foëcy avec les effectifs actuels et sous son nom historique, précise encore le communiqué. Selon Bertrand Minot, ce rachat va permettre à l'entreprise de Foëcy  "d'assurer sa pérennité et celle de ses emplois, faire profiter à ses clients d’offres tarifaires plus compétitives, d'optimiser son fonctionnement et de s'adosser à un groupe national et familial."

Cette reprise s’accompagne d’un plan de recrutement (opérateurs d’atelier et technicien bureau d’étude).

Charpentes du Centre emploie huit personnes et a développé un chiffre d'affaires de 1,4 millions d'euros. Le groupe Minot emploie deux cent cinquante personnes pour un chiffre d'affaires consolidé de 35 millions d'euros.

Attentat à Kaboul, concert hommage à Manchester, tweet énigmatique de Trump... les 5 infos du Midi pile

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Début de Ramadan sanglant à Kaboul : au moins 80 morts dans un attentat

L'Afghanistan a connu un début de mois de Ramadan sanglant avec un attentat au camion piégé qui a tué au moins 80 personnes et fait des centaines de blessés mercredi au coeur du quartier diplomatique de Kaboul.

"Malheureusement, le bilan a atteint 80 morts et plus de 300 blessés dont beaucoup de femmes et d'enfants", a indiqué un porte-parole du ministère de la Santé, Waheed Majroh, soulignant qu'il pourrait encore s'aggraver étant donné que de nouveaux corps continuaient d'être retirés des débris.

L'explosion, dont la cible n'était pas claire dans l'immédiat et qui a provoqué une onde de choc et d'énormes dégâts à la ronde, a été provoquée par "un kamikaze qui a actionné un véhicule bourré d'explosifs place Zanbaq dans le 10è district de Kaboul" vers 08H30 locales (04H30 GMT), selon le ministère de l'Intérieur.

Ferrand et de Sarnez doivent démissionner pour une majorité de Français

Une large majorité de Français estime que les ministres Richard Ferrand et Marielle de Sarnez devraient démissionner en raison des soupçons pesant sur eux, selon un sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico publié mercredi.

D'après cette enquête, 73% des personnes interrogées jugent que les faits reprochés à Richard Ferrand sont graves, 27% étant d'un avis contraire.

Pour 70%, le ministre de la Cohésion des territoires doit démissionner, contre 30% qui estiment qu'il peut rester en place.

Le député du Finistère est dans la tempête depuis une semaine et les premières révélations du Canard enchaîné concernant une location immobilière des Mutuelles de Bretagne impliquant sa compagne.

La société de production de Cyril Hanouna dépose plainte pour "dénonciation calomnieuse"

La société de production de Cyril Hanouna H2O a déposé deux plaintes contre X pour "dénonciation calomnieuse" et "diffusion de fausses nouvelles" et une plainte en diffamation contre le président de l'association Le Refuge, a annoncé mercredi son avocat à l'AFP. Les trois plaintes ont été déposées mardi, l'une à Montpellier (dénonciation calomnieuse) et les autres à Paris, a indiqué maître Stéphane Hasbanian, confirmant une information du Parisien.

Depuis la diffusion d'un canular téléphonique jugé homophobe dans son émission, les difficultés se sont accumulées pour l'animateur de C8, lâché par une partie des annonceurs, épinglé par le CSA qui a ouvert une procédure, pointé du doigt par de nombreuses associations et personnalités.

Manchester : concert exceptionnel dimanche en hommage aux victimes

Katy Perry, Coldplay, Justin Bieber, Pharrell Williams... entourée d'une pléiade de stars, la chanteuse américaine Ariana Grande revient dimanche à Manchester pour un concert de charité exceptionnel en hommage aux victimes de l'attentat qui a fait 22 morts.

A l'affiche de ce concert baptisé "One love Manchester" figurent également Miley Cyrus, Take That, Usher et Niall Horan, ont annoncé mardi les organisateurs.

Ariana Grande se produira dans la ville presque deux semaines après l'attentat perpétré le 22 mai à la fin de son concert à la Manchester Arena, qui a fait 22 morts et 116 blessés.

Les bénéfices seront reversés au fonds mis en place pour aider les proches des victimes de cette attaque. Retransmis par la BBC, le concert aura lieu dans la soirée au stade de cricket Emirates Old Trafford, d'une capacité de 50.000 places.

Un tweet énigmatique de Trump créé le buzz

Le président américain Donald Trump a glissé dans un tweet mardi soir un drôle de mot, "covfefe", devenu très vite le sujet numéro un de conversation sur les réseaux sociaux. "Malgré la presse constamment négative covfefe", peut-on lire sur le fil twitter de Donald Trump.

Outre la phrase qui paraît tronquée, que veut dire "covfefe" ? Est-ce un message crypté pour Vladimir Poutine ? Ou une faute de frappe ? Des plaisanteries et des commentaires hilarants ont commencé à fuser sur Twitter et #covfefe est rapidement devenu le terme le plus recherché et discuté.

AFP

Magali Bessard (PCF) : « La santé n’est pas une marchandise »

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Après l’agriculture et les circuits courts, les droits des femmes…, elle a exposé ses propositions en matière de santé pour un territoire « en grande difficulté, où les habitants ont le sentiment d’être abandonnés, notamment parce qu’ils sont au bout du bout de la région, si loin des métropoles Tours (Indre-et-Loire) et Orléans (Loiret) qui concentrent tous les moyens. »

Pendant près de deux heures, la désertification médicale a été omniprésente dans le débat avec la salle. « Il existe des leviers sur lesquels nous pouvons agir, a annoncé la candidate. Nous devons augmenter le nombre de places d’entrée dans les études de médecine, avec la perspective de supprimer le numerus clausus. Pour cela, il faut du courage politique. »

Égalité entre citoyens

Pour la candidate, des stages dans les zones déficitaires en médecins doivent être imposés pendant les études. Enfin, « il faut agir sur le conventionnement », a insisté Magali Bessard pour qui « la santé n’est pas une marchandise, mais un des droits les plus précieux. »

Tous nos articles sur les élections législatives

Défendant, avec Guy Samieri, « la santé comme une question d’égalité entre les citoyens sur ce territoire », Magali Bessard milite aussi pour un remboursement intégral de toutes les prescriptions médicales : « Ce financement est possible notamment en taxant les revenus financiers. »

De son côté, Guy Samieri a verbalisé ses inquiétudes pour l’avenir : « Avec le groupement hospitalier de territoire, il y a concentration des pouvoirs médicaux à Bourges. Le danger est que des services disparaissent dans les hôpitaux de proximité. Et que des emplois disparaissent dans un territoire qui est déjà en difficulté. Nous devons nous battre pour garder tous ces services publics. »

Estelle Bardelot

Ivres, ils volent un pommeau de douche

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Deux hommes ont été arrêtés par les policiers en plein flagrant délit de cambriolage, dans un immeuble neuf encore inoccupé, rue Jules-Louis-Breton, dans les quartiers nord de Bourges, hier vers 4 h 30.

Ivres, ils étaient entrés dans un appartement en brisant une vitre et venaient de dérober un pommeau de douche…

Placés en garde à vue, ils ont été relâchés hier avec une composition pénale (procédure judiciaire simplifiée).


Cent trente médailles du travail remises à MBDA

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La cérémonie s’est déroulée hier, en fin d’après-midi, dans les locaux de l’entreprise.

Parmi ces 130 récipiendaires, 6 ont reçu la médaille d’argent (20 ans de travail), 27 la médaille vermeil (30 ans), 87 la médaille d’or (35 ans) et 10 la médaille grand or (40 ans).

Au cours de la cérémonie, Jean Ribereau-Gayon, le directeur d’établissement, a évoqué le travail et ses valeurs qu’il a tenu à mettre en avant, mais aussi la chance des salariés de MBDA de faire « un travail intéressant et stimulant ».

Une « dynamique d’embauches »

Il a également assuré attacher de l’importance aux « marqueurs traditionnels de l’entreprise », dont les cérémonies de médailles du travail.

Pour conclure son discours, le directeur a « salué la dynamique d’embauches et d’investissement de l’entreprise » : 330 nouveaux CDI en Région Centre-Val de Loire depuis trois ans, dont près de 280 pour l’établissement de Bourges, et une prévision annoncée de 140 nouveaux CDI pour l’ensemble des établissements de la Région Centre, d’ici au 31 décembre 2017.

Éric Pessan, prix Marguerite-Audoux, face aux collégiens du Cher

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Près de 300 élèves de onze collèges du Cher ont participé au prix Marguerite-Audoux mis en place par la direction des services départementaux de l’Éducation nationale. La rencontre ultime a eu lieu hier matin, au Hublot.

Après une sélection de six œuvres réalisée par un comité qui regroupe les partenaires de l’action (Ligue de l’enseignement du Cher, atelier Canopé, association du Berry et de la Capitale, médiathèque de Bourges, direction de la lecture publique et association Lire aux éclats) ainsi que des professeurs, documentalistes et bibliothécaires du département, ces élèves de la sixième à la troisième ont voté pour leur œuvre favorite.

 

Promouvoir la lecture auprès des jeunes

Cette année, la lauréate est Amélie Billon, pour sa Lettre à Line. L’auteure n’ayant pas pu être présente, hier matin, pour la rencontre avec plus de 150 élèves participants à l’opération, c’est Éric Pessan, le deuxième auteur primé, qui a partagé un moment avec les adolescents autour de son œuvre, Aussi loin que possible.

Notre dossier sur la littérature en Berry

Les jeunes ont présenté sur scène leurs travaux réalisés en rapport avec le roman de l’écrivain : récitations de poèmes, diaporamas et réalisations d’un recueil de leurs critiques.

« Heureusement qu’il existe des dispositifs comme le prix Marguerite-Audoux, s’enthousiasme Éric Pessan. C’est super pour les élèves, cela rend les choses concrètes de rencontrer des auteurs. Et puis ça me permet de voir pourquoi et pour qui j’écris. »

Face aux critiques souvent entendues concernant « les jeunes qui ne lisent pas », l’auteur rétorque : « Il faut les encourager. Si on leur met un livre entre les mains, ils le lisent avec plaisir. Je pense que ces rencontres ne changeront pas ceux qui sont violemment contre la lecture, ni ceux qui adorent lire. Mais l’immense majorité des élèves est en flottement, et c’est auprès d’elle qu’il faut agir pour lui donner le goût du livre. »

Mélinda Pawlak

La ministre des Sports est venue soutenir les candidats de la République en marche

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Le soutien appuyé de l’escrimeuse française la plus médaillée de ces décennies, doublée d’une ministre des Sports visiblement ravie, est assurément une chance pour les candidats de La République en marche pour les législatives. À l’invitation de François Cormier-Bouligeon (candidat dans la première circonscription), Laura Flessel était, mardi à Bourges, pour découvrir le Creps (*) mais aussi les lieux d’enfance du candidat dans le quartier des Gibjoncs.« Le nouvel élan »Accompagnés par Nadia Essayan, candidate LRM sur la 2e circonscription, (Loïc Kervran, candidat dans la 3e, était retenu pour une autre réunion publique), François Cormier-Bouligeon et Laura Flessel ont clôturé cette journée par une réunion publique devant une assistance nombreuse.

L’occasion pour chacun des candidats d’appeler à donner une majorité forte au nouveau Président en pointant leur engagement mais aussi leur enracinement local. Le message de François Cormier-Bouligeon, hier : « Oui, nous allons remettre la République en marche pour la jeunesse » (en divisant par deux le nombre d’élèves dans les classes des zones prioritaires), « en luttant sans merci contre les discriminations dans les entreprises; en réorientant les 20 milliards de crédits de formation vers les demandeurs d’emplois. » Tout aussi important pour les candidats, la volonté de faire « des campagnes une ruralité active fière de ses atouts ».

François Cormier-Bouligeon est persuadé que « le nouvel élan » porté par Emmanuel Macron est aussi synomyme de « proposition, de clarification et de construction ». Laura Flessel ne dit pas autre chose : « Cet élan ne peut se briser sur une opposition conservatrice à l’Assemblée nationale. C’est une nouvelle voie. Essayons-la ! » Frank Simon

Soixante-dix exposants sont attendus à la brocante de Mimile dimanche

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Quand Mimile fait la fête

La brocante à Mimile, qui aura lieu dimanche sur la place des Marronniers, pérennise la fête. Celle qui rassemble depuis des années les Berruyers sous l'égide de l'association des habitants du quartier Émile-Martin- Jean-Baffier et sous le signe de la convivialité, voire de l'amitié.

Candidats et élus à l'apéro de midi

Jacques Fleury, ancien journaliste de notre rédaction, préside cette association. Il a pris soin de maintenir vivace ce moment qui, à midi, rassemble pour l'apéritif tous ceux qui le souhaitent.

Auparavant, les stands, tant d'habitants (familles ou enfants) que d'amateurs ou professionnels, attendront autant les chineurs invétérés que les promeneurs prêts à se laisser séduire par la bonne trouvaille. Il y a habituellement soixante-dix exposants environ, ce qui remplit facilement la place.

Un lieu de rencontres

Mais l'essentiel, peut-être, reste donc le moment important des retrouvailles ; celui de l'apéritif offert aux exposants et à leurs visiteurs. Et ceux-ci sont nombreux qui, voisins et amis, anciens (ou actuels) de notre journal, voire élus locaux, viennent trinquer et discuter pour l'occasion.

Comme chaque année d'élection, les candidats au scrutin législatif se mêleront aux élus en place pour faire l'actualité de ce petit rendez-vous. Quel meilleur moment, en effet, que celui-là pour faire passer quelque message, multiplier les poignées de main et – pourquoi pas – être sur la photo ?

Mimile revient avec sa brocante aux Marronniers

La brocante à Mimile aura également l'avantage de prolonger la promenade ceux qui viendront des fêtes médiévales, dans le jardin de l'Archevêché tout proche, ou qui auront l'intention de s'y rendre.

Pratique. La brocante à Mimile est prévue dimanche, de 7 heures à 19 heures, sur la place des Marronniers, à Bourges. Entrée gratuite.

Descente de police à la prison du Bordiot : du cannabis et des téléphones trouvés

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Dès 6 heures, les forces de l’ordre, accompagnées de membres de l’équipe régionale d’intervention et de sécurité (Eris) de Dijon, du procureur de la République de Bourges et de chiens spécialisés dans la recherche de drogue, ont fouillé plusieurs cellules. « Une dizaine », selon le procureur Joël Garrigue.

Du cannabis (« en petite quantité, pour de la consommation personnelle »), des téléphones portables (« trois ou quatre, ainsi que des puces de téléphone ») et quelques objets interdits (notamment une paire de ciseaux) ont été retrouvés.

Huit détenus ont été extraits de leurs cellules et placés en garde à vue au commissariat de police de Bourges pour recel d’introduction d’objet prohibé en détention.

En lire plus dans l'édition papier du 1er juin.

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