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Un rallye à la découverte des marais

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A la découverte des marais !. Dimanche dernier, de bon matin, une quarantaine d'aficionados des grands espaces s'étaient donné rendez-vous pour participer au rallye nature dans le marais du Fouzon jouxtant les Grands-Moulins.

Des questions relatives à l'environnement

Organisé conjointement par le comité des fêtes et l'entité Espace de vie sociale des Grands-Moulins, cette initiative ludique a emmené durant toute la matinée les participants tout au long du bocage. En équipe, ils ont dû répondre à un questionnaire relatif à la nature les entourant. Quelle est la hauteur de ce peuplier ? À qui appartiennent ces traces ? Dans quelle rivière se jette le Fouzon ?

Des questions relatives à l'environnement et la vie des marais, auxquelles venaient s'ajouter d'autres actions, comme trouver et ramasser telle fleur ou feuille.

En fin de matinée, après avoir rempli assidûment ce questionnaire, les participants ont remis le sésame pour une correction, suivie d'un classement.

C'est ainsi qu'avant le pot de l'amitié très attendu et fort convivial, les concurrents ont pu applaudir les gagnants de ce rallye : Sila Popo et Francine Morel. Cette belle initiative devrait dès l'année prochaine voir de nouveau le jour.


Rencontre au Pôle des étoiles

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Rencontre au Pôle des étoiles. Le Pôle des étoiles et la Galerie Capazza organisent une rencontre conférence en compagnie de l'artiste verrier Antoine Leperlie et de l'astrophysicienne Yaël Nazé, aujourd'hui, à 15 heures, au Pôle des étoiles. Ils aborderont leurs travaux respectifs. Les interventions seront suivies d'un échange avec la salle. Entrée libre.

« Exosculptures » au pistolet

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Figure incontournable de l'Art brut, André Robillard, né à Gien en 1931, expose actuellement à la Galerie Arset à Limoges (37, bd Carnot). On y trouve notamment ses fabuleux « engins-volants-presque-non-identifiés », ses animaux fantastiques et ses fameuses pétoires « pour tuer la misère » et le temps.

Passé maître dans l'art de l'assemblage, André Robillard utilise essentiellement des matériaux de récupération auxquels il ajoute du texte et de la couleur. À vous de décoller pour une autre planète en inventant votre propre collection d'objets venant de l'espace. Pour cela, armez-vous d'un pistolet à colle avec ses bâtons, d'un pain d'argile fraîche, de fil de pêche, d'emballages en plastique et de ciseaux. L'argile fera office de moule. Creusez une contre-forme dans celle-ci et garnissez ses parois avec la colle bien chaude. Prenez-vous y en deux fois pour réaliser, par exemple, les deux moitiés de la botte oubliée sur la lune par Le Petit Prince ou bien celles de la soucoupe volante d'un Lilliputien à jamais insoumis. Afin de créer des ouvertures dans vos créations, insérez des formes découpées dans les emballages en plastique. Concernant la finition, optez pour le mystère, en conservant l'aspect diaphane et translucide de la colle. Enfin, suspendez le tout à différentes hauteurs avec du fil de pêche et invitez vos amis. Si jamais ces derniers vous font des yeux d'extraterrestres, rétorquez-leur, comme l'a écrit Antoine de Saint-Exupéry dans Citadelle (paru en 1948), que « ce n'est point dans l'objet que réside le sens des choses, mais dans la démarche ».

41 coureurs en lice, hier à Chezal-Benoît

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Henri Jumeaux (Team Peltrax) en solitaire

Il faisait chaud, très chaud hier à Chezal-Benoît. À tel point que les dirigeants et arbitres ont décidé de réduire la course en supprimant un tour de circuit.

Les 41 concurrents devaient donc boucler dix tours de 11,2 km soit 112 kilomètres sous un soleil accablant. Au fil des bornes, ce dernier a eu raison des plus tendres.

Après avoir observé une minute de silence à la mémoire d'André Dufour, papa de Didier Dufour, le président-organisateur du VC Lignières, le peloton s'est lancé sans retenue à la conquête du Prix des ACPG-CATM. Très rapidement, quatre hommes mettaient le nez à la fenêtre, histoire de s'aérer : Letelu (VC Lignières), Buret (UC Mehun), Chabert (USP Issoire) et Stiévenard (US Saint-Florent).

Mais comme les suivantes, cette échappée avortait sous les coups de rein de puissants attaquants. C'est aux alentours du kilomètre 50 que dix hommes prenaient les commandes avec la ferme intention de ne plus les lâcher. M'Couezou (AC Sancoins), Legrand (CG Orléans), Buret (UC Mehun), Proust (UC Orléans), Chabert et Renard (USP Issoire), Maynadie (VC Cournon d'Auvergne), Brisson (VS Romorantin), Moreau (VT Tranzault) et Daudun Guenegou (VS valletais) étaient repris par Jacquin (VC Lignières), Jumeaux (Team Peltrax-CSD) et Pagnat (UV limousine). Ce groupe n'était guère animé par un esprit de franche camaraderie.

Le peloton, qui avait perdu nombre d'éléments, revenait vite et fort tandis que Letelu (VC Lignières), Cante (Cycle poitevin) et Perrier (VC Cournon d'Auvergne), partis en contre, faisaient à leur tour la jonction avec les quatorze hommes de tête.

Tout s'est joué dans le dernier tour

Le dernier tour allait être le théâtre de moult attaques. Legrand, Proust, Renard et Daudun-Guenegou repartaient de plus belle mais devaient supporter la présence de Moreau et Jumeaux, venus renforcer l'effectif.

Mais quand Jumeaux portait une estocade, pas un de ses adversaires n'était capable de prendre sa roue et le Francilien, deuxième à Pesselières, troisième du Prix des Vins du Sancerrois et à Garigny, autorisé à courir en seconde catégorie jusqu'à la fin du mois, s'imposait en solitaire.

Le classement

1. Henri Jumeaux (Team Peltrax-CSD, 1 re) ; 2. Yohann Proust (UC Orléans, 2 e) ; 3. Franck Daudun-Guenegou (VS valletais, 2 e) ; 4. Fabrice Legrand (CG Orléans, 2 e) ; 5. Gaël Renard (USP Issoire, 2 e) ; 6. Yoann Moreau (VT Tranzault, 2 e) ; 7. Lucas M'Couezou (AC Sancoins, J) ; 8. Quentin Jacquin (VC Lignières, 3 e) ; 9. Hugo Cante (Cycle poitevin, 2 e) ; 10. Robin Letelu (VC Lignières, 2 e), etc.

Record pour la randonnée

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RANDONNEE PEDESTRE ET VTT. Ainay-le-vieil. Belle réussite dimanche pour le comité des fêtes qui organisait sa randonnée pédestre et VTT qui a battu un record de fréquentation avec 125 randonneurs et 28 vététistes. 38 personnes ont parcouru le parcours de 8 km, 48 sur celui de 12 km, 22 pour le 25 km et 18 pour le 37 km. Le plus jeune était âgé de 8 ans, et le plus âgé avait 81 ans. Cette année, beaucoup de participants venaient de Bourges, de Vierzon et des environs, ainsi que de l'Allier avec Montluçon et Cérilly, fortement représentées. Objectif pour 2018 : attirer encore plus de monde.

Pierre Maissin, lauréat du prix Pierre-Coulon, se destine à la kinésithérapie du sport

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Laisser le temps au geste de s'affiner

Récompensé avant l'heure, celle de l'obtention du diplôme de fin de cursus, Pierre Maissin s'est vu remettre le prix Pierre-Coulon dans les locaux de l'Institut de formation en masso-kinésithérapie (IFMK), mardi.

Pour le jeune homme de 22 ans, ce titre décerné chaque année, qui récompense le major de promo, vient « reconnaître un travail régulier », comme l'explique l'intéressé.

Travail en équipe

Choisissant ses mots avec précision, l'étudiant revient sur son parcours de la prépa à cette troisième et dernière année de formation. Un enseignement qui devrait se poursuivre en octobre au Creps de Bourges pour une spécialisation dans le domaine sportif, celui de la natation. Un sport que Pierre a continué à pratiquer malgré un emploi du temps surchargé durant le cursus. « Quelque chose de vital », reconnaît-il.

De cette troisième année qui s'achève, le lauréat retient l'enchaînement des épreuves à un rythme soutenu et le travail en équipe qui a beaucoup compté pour ses très bons résultats. « Je tiens tout particulièrement à remercier Damien Lafarge et Rémi Guichard avec qui j'ai pu échanger sur des cas cliniques, notamment », insiste l'étudiant qui n'oublie pas sa famille.

Après le diplôme, le jeune homme compte voyager pour multiplier les expériences et s'installer dans deux ou trois ans. « Le diplôme n'est qu'un droit à exercer. Il faut que le geste s'affine », souligne celui qui surprend déjà par sa maturité.

Le Salon de la nature se tenait, hier, au Vernet

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Une première mise au vert

Pour cette première édition au Vernet, les organisateurs ont pu compter sur une dizaine d'exposants venus présenter ou proposer le fruit d'un travail au plus près de la nature. Ateliers et animations ont également rythmé cette journée de samedi placée sous une thématique générale : le zéro pesticide.

Un sujet en pleine actualité puisque depuis le 1 er janvier 2017, les collectivités ont interdiction d'utiliser ces produits. En 2019, la même loi concernera tous les particuliers.

Pour l'association Mouv'pour la vie, cette interdiction représente à la fois un progrès en terme d'écologie mais aussi une manière d'aborder différemment son rapport à la ville ou à la campagne. « Il n'y a pas de mauvaises plantes, ce sont les hommes qui les ont considérées comme telles », explique Romain de Carvalho de l'association. Au Salon de la nature, hier, il s'agissait aussi d'expliquer, à travers quelques conseils pratiques, comment profiter du retour au vert dans les espaces urbains.

Brocante du Gravier

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Brocante du Gravier. L'Amicale laïque organise une brocante au Gravier aujourd'hui, dimanche 28 mai, de 6 à 20 heures. Un rendez-vous agrémenté par un marché avec divers stands : boudin, fromages, légumes, plants. Tarif : 1,50 euro. Renseignements au 06.77.94.12.90


Un iris Auld Alliance baptisé au whisky, dans la cité des Stuarts

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C'est un événement pas banal qui s'est déroulé, jeudi, devant le château des Stuarts d'Aubigny-sur-Nère, au pied de la stèle de l'Auld Alliance, l'épée plantée dans ce rocher écossais.

Une idée généreuse de Richard Cayeux dont la famille est bien connue dans les environs depuis quatre générations grâce à sa culture d'iris à Poilly-lez-Gien (Loiret) et qui a choisi de donner le pedigree d'iris auld-alliance à une de ses créations.

Yves Fromion, parrain de l'iris Auld Alliance

Sous le drapeau écossais, ce baptême était ouvert au son de la cornemuse de plusieurs musiciens du pipe-band Auld Alliance et devant un public de curieux.

Un iris au beau pedigree

C'est le maire, Laurence Rénier, qui a ouvert cette cérémonie avec une page d'histoire locale, celle qui sédimente la cité des Stuarts à l'Écosse. Pour parrain de ce nouvel iris auld-alliance, Richard Cayeux a choisi Yves Fromion. Pour la circonstance, ce dernier avait revêtu son kilt au tartan albinien et a baptisé l'iris avec quelques gouttes de whisky.

Richard Cayeux était particulièrement heureux d'offrir une de ses créations à la très belle ville historique d'Aubigny. La création d'iris est une tradition familiale qui remonte à la fin du XIX e siècle. Son arrière-grand-père était déjà reconnu pour ses iris au niveau international. Richard Cayeux est la quatrième génération qui se consacre à ce travail de recherche et d'hybridation. Il a ensuite donné le pedigree de l'iris Aubigny auld alliance : le père est un iris Cayeux baptisé grenade, de couleur jaune et rouge sombre, et le grand-père l'iris fabuleux, bleu et blanc.

Défilé en ville jusqu’à l’usine

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parade. Une vingtaine de tracteurs se sont fait remarquer en ville, hier après-midi, provoquant quelques ralentissements, à la surprise des vacanciers de passage. Automobilistes, camping-caristes et motards ont cédé la place avec le sourire aux machines pétaradantes. Elles ont assuré un détour par l'esplanade de la Société française, l'usine d'où sont sortis les fameux tracteurs de Vierzon. Des Vierzonnais étaient au bord des rues, se souvenant de cette épopée industrielle. Un nouveau défilé a lieu ce dimanche matin, à partir de 10 heures (départ du parc des expos).

Charge chargée d’histoire

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Après la création, en 812-813, de la charge de lieutenant de louveterie, en 1308, sous le règne de Philippe Le Bel, apparaît le titre de louvetier du Roi. Ce qui inscrit l'empreinte de la louveterie comme un symbole fort de la royauté. Manière, pour elle, de se montrer soucieuse de la protection de ses sujets et de celle des troupeaux domestiques de cette France très majoritairement rurale, mise à contribution forcée par les multiples impôts et taxes royaux qui prévalaient, déjà, à cette époque, et abondaient une Cour alors très dépensière.

Histoire de loups

À cet égard, le roi Charles VI a permis aux Louvetiers, en 1404, de lever et percevoir directement un impôt auprès des villages et des villageois. Sur les lieux mêmes de la destruction de l'animal.

Ce n'est que sous le règne de Louis XI que, de fait, est apparu le titre de lieutenant de louveterie tel que nous le connaissons aujourd'hui. Par un règlement de 1787, Louis XVI supprima cette charge, jugée trop coûteuse pour les finances du royaume.

Dix ans plus tard et ayant perduré sous la Révolution, la loi du 19 pluviôse An V (7 février 1797) acte le rétablissement de la fonction de Lieutenant de Louveterie qui fut définitivement confortée par Napoléon 1 er, en 1804.

Entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767, trois années durant, près de cent vingt attaques mortelles, selon les sources paroissiales, ont eu lieu dans le massif de la Margeride, aux confins des actuels départements de la Lozère, de la Haute-Loire et du Cantal, imputées à la fameuse Bête du Gévaudan.

Selon certaines études documentées, le loup serait devenu un prédateur d'hommes après avoir goûté à la chair humaine, en s'attaquant facilement et sans risques, aux cadavres rarement enterrés des champs de bataille du temps passé…

En juin 1767, après de multiples interventions de la force publique ordonnée par le Roi, peu couronnées de succès malgré de gigantesques battues administratives, Jean Chastel, paysan originaire de La Besseyre-Saint-Mary, en Haute-Loire, a abattu un très grand loup. Dès lors, il n'y eut plus aucune attaque dans le massif du Gévaudan, après trois années de terreur, de meurtres et de spéculations dans cette partie d'une France éminemment rurale. Dans les années 1820, il se tuait encore en France environ deux mille loups par an.

Aujourd'hui, le dernier arrêté ministériel du 5 juillet 2016, autorise le tir de défense de trente-six loups sur l'ensemble du territoire national. Ce dernier est réapparu dans les années 90 dans le massif du Mercantour, en provenance des Abruzzes italiennes. Et la réapparition récente du loup dans des départements de plaine comme la Nièvre aura sûrement des conséquences sur les missions des lieutenants de louveterie…

« Avec la hauteur de plafond, le son a le temps de s’envoler »

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Il est ingénieur du son, elle est concertiste internationale. Paroles d'expert sur ce que leurs oreilles entendent à Saint-Bonnet.

En survêtement noir, baskets aux pieds, buste penché, elle fait des étirements sous un lustre de Murano. Ses doigts, sa nuque, ses épaules, ses coudes crient grâce… Hélène Berger vient d'enchaîner « un marathon complet et un semi ». Comprendre qu'elle vient de passer six heures d'affilée derrière le piano Steinway du théâtre Saint-Bonnet à enregistrer son prochain disque.

L'événement est assez rare pour elle. Malgré sa carrière de concertiste internationale, la fondatrice et directrice artistique du Cap Ferret music festival (Gironde) n'a que trois disques à son actif. « Je n'aime pas l'ambiance confinée des studios. Ça ne prête pas à l'inspiration, le son est trop sec. Alors, les ingénieurs du son rajoutent de la réverbération, pour restituer l'ambiance naturelle d'une salle. » Pas sa tasse de thé.

« Si on arrête les ondes, il n'y a pas d'harmonie »

Un jour, Franck Ciup lui envoie un mail. Évoque son théâtre et son acoustique. Hélène Berger y prête une oreille attentive. Et dit banco. Elle ne le regrette pas. « Avec la hauteur de plafond de cette salle, le son a le temps de s'envoler. C'est bien. Si on arrête les ondes, il n'y a pas d'harmonie. C'est pour ça que je suis venue. Les plus grands ont enregistré ici. C'est un privilège. Toutes les conditions sont réunies. »

Derrière des écrans d'ordinateur et une console de mixage, un jeune homme acquiesce. Lui connaît la maison. Normal, elle est à son père. Mais Maximilien Ciup a choisi une autre voie : ingénieur du son. Avant de venir à Bourges pour Hélène Berger, il venait d'enregistrer Barbara Hendricks… Et Nikolaï Louganski. Et Boris Berezovsky à Moscou… Ça pose la réputation du jeune homme de 27 ans. Le fils s'efface derrière le technicien quand il parle du théâtre Saint-Bonnet. « La salle se prête à la musique de chambre, avec ce bon volume en hauteur. C'est l'acoustique idéale pour ce piano, mais les cordes rendent très bien aussi. Ici, les micros sont transparents, ils sont fidèles à l'instrument. »

« Le piano m’a tout de suite fasciné »

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Portrait. Ses parents n'étaient pas « de grands mélomanes », mais Franck Ciup a grandi bercé de musique. Surtout trois airs, que sa mère écoutait « en boucle, sur des cassettes » : la Callas dans la Traviata ; le violoniste Itzhak Perlman et un concerto de Mendelssohn ; le pianiste Vladimir Horowitz et la sonate Appassionata de Beethoven. « J'écoutais rageusement dans mon lit. Le piano m'a tout de suite fasciné. » Le pli est définitivement pris lorsqu'il découvre Glenn Gould à la télé, interprétant les Variations Goldberg de Bach. Un choc, une révélation, un « Himalaya du piano » que cet ancien disciple de l'École normale de musique de Paris, devenu chef d'entreprise à succès avec la marque de prêt-à-porter Col Claudine (revendue en 2010, elle comptait 30 boutiques en France et 70 salariés), continue toujours de jouer. Interprète et jury de concours internationaux, Franck Ciup est également compositeur et se produit dans le monde entier.

Caroline Jouisse sixième Française sur 1.500 m

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La cinquième journée des championnats de France Élite à Schiltigheim était marquée par la finale A de la Berruyère Caroline Jouisse sur 1.500 m nage libre.

Pour la troisième finale A de la semaine pour l'AC Bourges (après Alexane Cormier et Hugo Grandjean), Caroline Jouisse s'est classée 7 e, mais termine 6 e Française sur cette distance.

Autres faits notables de la journée d'hier : la 5 e place obtenue par Hugo Grandjean dans la finale C du 100 m papillon, mais aussi plusieurs records qui sont tombés. Si Sarah Lutignier a battu son meilleur temps sur 100 m nage libre, le relais masculin (Boulier, Guy, Gouezec, Grandjean) a amélioré de 5 secondes le record du Cher sur 4 x 200 m nage libre. Épreuve durant laquelle Romain Boulier a signé le record du Cher sur 200 m nage libre.

Les résultats

SCHILTIGHEIM (Centre nautique). Cinquième journée des championnats de France Élite.

Femmes. Caroline Jouisse : 7 e de la finale A du 800 m nage libre (9'04"77) ; Camille Fradier : 38 e du 200 m brasse (2'46"74) ; Sarah Lutignier : 32 e du 100 m nage libre (58"29).

Hommes. Hugo Grandjean : 5 e de la finale C du 100 m papillon (56"16) ; Romain Boulier : 53 e du 100 m papillon (57"59) ; Corentin Gouezec : 65 e du 100 m papillon (59" 43) ; Alexis Guy : 21 e du 1.500 m nage libre (16'19"33) ; Boulier, Guy, Gouezec, Grandjean : 9 e du relais 4 x 200 m nage libre (7'47"19).

Aujourd'hui. Loana Menneteau et Sarah Lutignier sur 50 m papillon, Caroline Jouisse sur 400 m nage libre, Alexane Cormier sur 100 m dos ; Romain Boulier sur 200 m brasse ; relais féminin et masculin sur 4 x 100 m quatre nages.

Anniversaire et projets de Soie et Couleurs

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Soie et Couleurs : anniversaire et projets. Tous les mercredis après-midi, la dizaine d'adhérentes de l'association Soie et Couleurs se réunissent dans la salle du conseil de la mairie où leur matériel de peinture sur soie les attend.

Mais la saison 2016-2017 est terminée et il n'est pas question de se séparer sans se réunir une dernière fois et se rappeler les bons moments.

Les quatre-vingts ans de la trésorière

Aussi, ces dames se sont-elles donné rendez-vous dans un autre lieu, plus festif, au restaurant le Saint-Ursin à La Chapelle-Saint-Ursin, pour un repas célébrant la fin de saison et les quatre-vingts ans de leur trésorière, Jannick Saulnier.

La date de la rentrée est déjà fixée au 4 octobre

Elles ont déjeuné, se sont amusées, ont fait des projets, et parlé de la rentrée qui aura lieu le 4 octobre autour de leur présidente Yvonne Legé, qui est déjà toute disposée à prendre de nouvelles inscriptions. Pour tout renseignement, Tél. 06.32.93.39.85.


Les élèves ont tenu l’assemblée générale de leur association, hier au lycée Édouard-Vaillant

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Démocratie lycéenne active à Vaillant

«Nous sommes une bande de copains, ce qui a été la clé de voûte de notre projet de démocratie participative dans le lycée », affirme Mehdi Bareau, membre fondateur de la Maison des lycéens (MDL) d'Édouard-Vaillant et responsable de la cafétéria.

Hier après-midi, dans la salle de conférence de l'établissement, les membres du bureau de l'association étaient réunis pour dresser un bilan de l'année écoulée et projeter le devenir de cette entité lycéenne active.

La cafétéria, lieu qui permet de « sortirdu cadre scolaire »

Née en mars 2015, l'association qui compte aujourd'hui trois cent cinquante adhérents a permis, entre autres, la création d'une cafétéria. Un lieu de détente et de rencontres prisé des lycéens qu'ils ont voulu déconnecté : « Nos investissements avaient pour ambition de rendre ce lieu moins scolaire, avec des canapés, une console de jeux… Même les professeurs viennent parfois, ce qui permet d'avoir un autre rapport avec eux, de sortir du cadre scolaire », poursuit Mehdi Bareau, au côté de Philibert Schaeffer, secrétaire général de l'association qui œuvre depuis le début au bon fonctionnement de l'outil.

Contribution aux sorties scolaires et à la vie du lycée, vente de places à prix réduits pour le théâtre Mac-Nab et le cinéma : les jeunes, soutenus avec bienveillance par l'administration du lycée, ont su défendre l'intérêt de leurs camarades auprès de différents interlocuteurs. « Gérer avec les fournisseurs pour la cafétéria, rencontrer les élus, les responsables… : c'est une expérience très enrichissante et c'est valorisant quand les choses se concrétisent. On a beaucoup aimé faire ça. »

Une instance indispensable

« Depuis deux ans, nous avons consolidé les bases tout en continuant dans une politique de développement ambitieuse » se félicite Mehdi Bareau, qui comme les autres membres de l'association en classe de terminale va passer le relais à un conseil d'administration (*) à la rentrée prochaine. « Nous laissons une association en bonne santé », poursuivent les deux lycéens.

Parmi les actions que le nouveau conseil d'administration va devoir poursuivre, la communication et l'information aux nouveaux arrivants dans l'établissement à l'heure de la rentrée : « Depuis cette année, nous profitons de la nouvelle journée d'intégration pour faire connaître l'association aux secondes. C'est important qu'ils prennent connaissance de ce lieu que l'on veut mixte, entre les sections générales la filière professionnelle, c'est le seul endroit dans l'établissement où ils peuvent se rencontrer », estime Philibert Schaeffer.

Faire connaître l'association aux nouveaux élèves

Association libre et indépendante, la MDL bénéficie parfois des conseils de l'administration lycéenne, satisfaite des initiatives portées. « C'est un outil de politique éducative, une instance indispensable pour la démocratie lycéenne », félicite le directeur adjoint, Michel Christophe, invité à assister à l'assemblée générale.

(*) Les candidats au futur conseil d'administration : Nolan Dessaigne, Maxime Constant, Alexis Gimonet, Coleen Limoges, Quentin Sennegon, Jade Constant, Yolann Souchet, Raphael Pacheco, Camille Dupuis et Clara Pacheco.

Alcool assistance.

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Alcool assistance. Les personnes ayant un problème lié à l'alcool et leur entourage, peuvent venir en parler avec les bénévoles de l'association en toute confidentialité lors de la permanence qui se tiendra le samedi 3 juin de 9 h 30 à 11 h 30 à la maison des services au public, 6, avenue du 8 mai.

Quarante modélistes réunis à Robinson

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Plein soleil pour les modélistes. Si l'an dernier la pluie avait troublé l'événement, cette année, le Meeting de bateaux radiocommandés, organisé dimanche par le club naval guerchois, a été un succès.

C'est sous un soleil estival, que s'est déroulée la 23 e édition. Ce rendez-vous a réuni une quarantaine de pilotes représentant huit clubs venus avec leurs petits bijoux qui ont demandé de nombreuses heures de travail et de préparation à leurs propriétaires tout aussi passionnés les uns que les autres.

Sur le site de Robinson, havre de verdure et de fraîcheur, manettes en mains, les pilotes ont fait voguer sur le plan d'eau de très beaux spécimens comme des voiliers et bateau à vapeur, filer à vive allure des offshore et plonger en profondeur leurs sous-marins.

Ce meeting était agrémenté par une exposition de maquettes et également d'un port à marée basse présenté par le club guerchois.

Des participants prêts à revenir en 2018

Ce rendez-vous a été concocté d'une main de maître par le président et son équipe qui ont tous mis en œuvre pour recevoir et satisfaire les pilotes qui, par ailleurs, ont été enchantés par le bon déroulement de l'événement et l'accueil qui leur a été réservé pour ce meeting et ne manqueront pas de revenir l'année prochaine.

Week-end musical en jazz, rock, pop, reggae...

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Le festival se pointe à l'ouest

Rien à l'ouest ? Si ! Le festival de musique. Cette année encore, Marmagne fera les choses en grand en proposant 9 concerts : 2 vendredi et 7 entre samedi et dimanche.

Cette quinzième édition du festival proposera des concerts d'une grande diversité, pour tous les goûts même les plus hétéroclites. Ils se tiendront sous barnums.

Les réjouissances débuteront vendredi à 20 h 30 avec Collectif Swing et son jazz manouche, un atelier d'improvisation à la guitare jazz acoustique dans l'esprit de Django Reinhardt. Puis, de 21 heures à 22 h 30, Quator Megamix , quatre artistes touche-à-tout qui proposent des spectacles burlesques à partir de mises en scène aux limites de l'absurde et des arrangements musicaux inattendus.

(swing et Années folles).

De belles perspectives musicales pour ce week-end.

Pratique. Vendredi, entrée pour les deux concerts, 8 euros et gratuit pour les moins de seize ans. Les sept autres concerts de samedi et dimanche sont gratuits. Les commerçants du village seront chargés d'assurer la restauration et la buvette.

Une journée Usep a été organisée hier au stade du Pré-des-Joncs

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Trois cents écoliers ont été initiés au rugby

Trois cents écoliers ont participé à une initiation au rugby, hier, de 10 à 15 heures, au stade du Pré-des-Joncs, dans le cadre des journées Usep.

Les enfants, joyeux et motivés, ont participé à la journée initiation au rugby, organisée par le comité départemental de rugby et son président Serge Richard.

C'est Anne-Catherine Fournier, responsable de l'Usep de Saint-Amand, qui est à l'origine de ce projet. Des élèves du CP au CM2, des classes des Buissonnets, Orcenais, Marçais, Arcomps, Vallenay, Chezal-Benoît, Châteauneuf-sur-Cher et Venesmes se sont retrouvés sur le stade autour de différents ateliers : tirs, plaquages, passes. Cinq formateurs diplômés et enseignants des écoles étaient présents.

Pour Serge Richard, « il faut sensibiliser les enfants, par des techniques et leur faire découvrir le sport ». Après la pause pique-nique du midi, les enfants ont repris cette initiation de rugby jusqu'à 15 heures.

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